La photographe Helene Havard nous propose une série photo utopique et colorée dans les rues de la capitale cubaine La Havane.

Après l’obtention de son diplôme de l’EFET, école de photographie à Paris, Helene Havard quitte l’hexagone pour la Polynésie française où elle débute comme correspondante de presse pour la Dépêche de Tahiti. Cette expérience la marquera notamment pour la réalisation de sa magnifique série de portraits à la rencontre des Polynésiens que nous vous avions déjà présenté.

Installée à Bora-Bora, elle se lance également dans la photographie de mariage. Un domaine dans lequel elle se démarque avec brio. Élue « 30 rising stars of wedding photography » par Rangefinder Magazine en 2015, son époux et elle se font connaître internationalement en 2016 comme les pionniers dans l’utilisation du drone pour réaliser des photographies de mariés vue du ciel.

C’est d’ailleurs à cette époque, peu de temps avant la mort de Fidel Castro, que Helene Havard part en voyage à Cuba.

Batiment et palmiers de la Havane
© Helene Havard

La photographe française est revenue de ce voyage photo avec une série unique dans les rues de la Havane. L’architecture de la capitale cubaine est ici mise en avant à l’aide de compositions minimalistes et de couleurs pastel et acidulées.

Un traitement des couleurs assumées dans le but de créer des images utopiques de la ville, comme « pour effacer les difficultés que peuvent rencontrer les habitants de Cuba ».

J’ai été frappé par cette ville, ses marques et ses cicatrices laissées par le régime communiste tout au long des décennies. A travers l’état de la ville, j’ai ressenti à quel point le peuple était opprimé.

Une douce série photo, symbole d’espoir, de la Habana Vieja sublimée que nous vous invitons à découvrir ci-dessous.

Helene Havard : Site – Instagram – Behance

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