Eve in Eden : Sébastien Barriol sublime le nu en paysage

Photo - Sébastien Barriol, Eve in Eden, Les Trois dents, Parc du Pilat

 

Un abord décomplexé de la nudité

Sébastien Barriol est un photographe français situé à Saint-Étienne, dans la région Rhône-Alpes.

Sa série de photos Eve in Eden est une véritable ode à la nature et la femme. Figures à la fois fragiles et puissantes, presque mythiques, ces femmes nues faisant face à l'immensité viennent compléter et sublimer le cadre. Célébrant cette symbiose par des images spectaculaires, Sébastien Barriol poétise le nu en composant avec le paysage.

Pour en découvrir plus sur le photographe et sur sa superbe série Eve in Eden, lisez notre interview !

Photo - Sébastien Barriol, Eve in Eden, Plages de l'Espiguette (Grau du Roi)

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Quel est votre parcours ?

Je suis "photographe" autodidacte depuis une quinzaine d'années maintenant. Un peu par accident, parce que mon frère s'était acheté un reflex et que ça m'avait donné l'envie d'essayer aussi. J'ai appris un peu tout seul, j'apprends toujours d’ailleurs... Une communauté de photographes (planetpowershot ou PPS pour les intimes) très active à l'époque m'avait énormément aidé à progresser. La photo ne reste qu'un loisir pour moi, il peut m'arriver d'avancer plusieurs projets en parallèle en quelques semaines et de ne rien faire pendant 6 mois.

© Sébastien Barriol, Eve in Eden

Si vous deviez définir votre style à nos lecteurs... quels seraient les mots qui vous viennent à l'esprit ?

Je ne pense pas avoir de style bien marqué en fait, j'apprécie tous les styles de photos. C'est souvent la remarque que l'on me fait ou la question que l'on me pose. Quel style de photo faites-vous ? Je répondrai que je fais d'abord des images, j'essaie de reproduire des idées ou envies qui me trottent en tête le plus souvent. Mais je remarque que la nature ressort souvent dans mes travaux, tout comme le nu.

© Sébastien Barriol, Eve in Eden

Quel matériel utilisez-vous ? 

Je travaille avec un reflex Canon depuis le début. Actuellement un 5D Mark III qui couvre l'ensemble de mes besoins.  L'argentique me faisant de l’œil et l'envie de revenir aux fondamentaux étant plus qu'une évidence, je me suis équipé d'un Mamiya C330 pour explorer l'univers du moyen format. Univers que j'explore depuis 6 mois maintenant tel un vrai novice et gamin devant son coffre à jouets.

© Sébastien Barriol, Eve in Eden

Qu'est-ce qui a inspiré la réalisation de cette série ?

Cette série est née de mon amour pour la nature et des randos matinales improbables. J'ai toujours aimé associer une présence humaine dans mes photos de paysages. Souvent éloignée, celle-ci donne de la grandeur à cette nature que nous ne respectons pas comme il se doit.

Lors d'une randonnée en roller, un jour de grandes pluies aux alentours d'Annecy, je faisais quelques clichés en bord de lac et j'ai voulu essayer de composer un nu avec ma compagne dans un milieu qui me paraissait bien fade sans présence humaine. Associer un lieu pas forcément connu du public, une personne anonymisée nue de dos avançant  vers le point de fuite de ce décor à la lecture symétrique... J'ai trouvé ce concept intéressant mais pas forcément jusqu'à en faire une série, sur le coup. Ce n'est que lors d'une autre session photo où j'ai reproduit le même concept de nu avançant dans un décor que je me suis dit qu'il y avait peut être quelque chose à développer.

 

© Sébastien Barriol, Eve in Eden

Pourriez-vous nous en dire plus sur vos modèles ? Comment les choisissez-vous ?

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Les modèles sont toutes amatrices, parfois mêmes novices dans le milieu de la photo, la pose n'étant pas compliquée et ne demandant pas d’expérience particulière.
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J'ai eu, à ma grande surprise, beaucoup de mal à trouver les bonnes personnes, non pas physiquement ou pour le coté nu (pouvant être un problème tout à fait légitime) mais plus pour le fait de faire accepter de devoir parfois partir tôt le matin, quelques fois sous la neige et le vent, marcher quelques kilomètres avec les raquettes ou devoir garder l'équilibre face à un précipice... Les modèles plus expérimentées sont plus habituées à rester au chaud dans un studio ou à travailler quand il fait beau :-) mais je pars toujours du principe qu'il faut aller chercher la photo pour qu'elle en vaille la peine.
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Cette série étant totalement liée aux conditions météo, je les ai choisies sur ce seul critère : accepter de marcher parfois longtemps pour aller faire une seule photo qui ne donnera peut-être rien parce que le temps ne crée pas l'ambiance voulue. Cette série à donné lieu à quelques sorties stériles en termes de photos... Mais après tout... ce n'est pas le plus important dans la mesure où la balade et la rencontre restent sympa...

 

© Sébastien Barriol, Eve in Eden

La scénographie est-elle réfléchie au préalable ou est-ce plutôt spontané ?

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La scénographie du lieu est "réfléchie" dans le sens où elle est toujours plus ou moins en lien avec une lecture symétrique. Je cherche les lieux qui se prêtent à ce genre de lecture. Excepté la première photo faite, les lieux ont toujours étés visités, une fois, plusieurs fois même, avant de me lancer dans la prise de vue définitive. Il n'y a effectivement aucune spontanéité dans cette série, mais ce n'est pas le but, ici.

 

© Sébastien Barriol, Eve in Eden

Votre série est-elle définitivement terminée ou toujours en cours ?

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J'avais arrêté cette série il y a presque 2 ans, d'abord parce que beaucoup trop de monde ne venait vers moi que pour cela alors que ce n'est qu'une partie de mes travaux parmi tant d'autres, mais aussi parce que je ne souhaitais pas reproduire ce format à l'infini. Ce n'est pas le but et c'est rentrer dans la facilité photographique, à mon sens.
De l'eau a coulé sous les ponts, l'envie est revenue et je laisse la porte ouverte à quelques photos supplémentaires, en fonction de découvertes ou futures balades. Rien de précis, pas de "deadline" non plus... Le temps et les rencontres feront les choses d'elles-mêmes.
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Au-delà de cette série, j'essaie d’appréhender lentement mais sûrement l'humain par du portrait en argentique, principalement. La retouche n'étant pas de rigueur et le naturel prenant toute sa valeur.
J'avance aussi à petits pas, sur des recherches un peu plus oniriques, souvent axées sur du nu en studio, milieu urbain ou décors naturels. Ça permet de se gratter la tête et de ne pas rester dans la facilité visuelle.

 

© Sébastien Barriol, Eve in Eden
© Sébastien Barriol, Eve in Eden
Photo de Sébastien Barriol

Photo Amol Jadhav

Illusions d'optique d'Amol Jadhav pour la campagne d'adoption d'animaux World For All

Photo Amol Jadhav
Photo Amol Jadhav

On le sait bien, une image vaut mille mots, et ces illusions d’optique signées Amol Jadhav en sont encore un bel exemple.

Afin de promouvoir l’adoption des animaux en Inde, World for All a confié sa campagne au photographe Amol Jadhav qui a su faire preuve d’une belle créativité et montrer que chaque animal de compagnie a sa place au sein d’une famille.

Selon la taille de l’image et la position de l’écran, on voit d’abord une famille souriante puis des silhouettes d’animaux découpées sur fond blanc, au centre… ou le contraire ! Lumières, position du corps et des mains, pli des vêtements, mèches de cheveux… le moindre détail est réfléchi et mis en place pour créer une image dans l’image.

Par ces ingénieuses illusions d’optique, Amol Jadhav et World for All ont su attirer l’œil et conquérir le cœur du public pour faire passer le message.

Et parce qu’une image vaut mieux que mille mots, nous vous laissons admirer le résultat  :

 

WFA_Campagne_Amol_Jadhav-3
Amol Jadhav

WFA_Campagne_Amol_Jadhav-2
Photo : Amol Jadhav

WFA_Amol_Jadhav
Photo : Amol Jadhav
Client : World For All
Agence : McCann Worldgroup India, Mumbai
Directeur exécutif : Prasoon Joshi
Directeur de création national : Pradyumna Chauhan
Photographe : Amol Jadhav
Directeur de création : Sharmad Khambekar
Auteurs : Pranav Bhide, Archit Gadiyar
Directeur artistique : Pranav Bhide
Retoucheur : Pranav Bhide
Finishers : Nitin Sawant, Nagesh Mithbawkar

 

Retrouvez tout le travail d’Amol Jadhav sur son site !


Main d'un Holy Man © Omar Reda

Une vie, une main : le portrait par le photographe Omar Reda

Main d'un Forgeron © Omar Reda
Forgeron © Omar Reda

Quand on parle portrait, on pense tout de suite à des photos de visages. Omar Reda, photographe libanais et graphiste de formation, nous prouve encore une fois que le visage n’est pas le seul élément constitutif de l’identité profonde d’un homme.

“La main, tout comme les yeux, révèle ce qui se cache au plus profond de nous.”
L’art du portrait ne s’arrête pas au visage. Finalement, la définition du portrait est assez large ; le portrait consiste à représenter une personnalité par l’image, et ce quel que soit l’angle ou la partie du corps humain mise en avant.
Si certaines parties du corps s’avèrent plus représentatives que d’autres, les mots du photographe suffisent à montrer que les mains sont aussi parlantes qu’un regard :
“Les lignes de la main dévoilent les secrets de nos vies. Elles révèlent les épreuves que nous avons traversées, les fardeaux que nous avons portés et les choix que nous avons faits.”
Main d'une Fille d'une tribu © Omar Reda
Fille d’une tribu © Omar Reda
Fasciné par le rôle des mains dans le travail et la survie de l’homme, Omar Reda a entrepris de photographier les mains d’hommes et de femmes du monde entier. Différents pays, différents métiers, différentes histoires…
“La main joue un rôle essentiel dans notre évolution et notre survie. Les premiers hommes faisaient du feu, chassaient, se battaient et survivaient grâce à leurs mains.”
Dans ce projet qui pourrait durer toute une vie, Omar Reda s’efforce de capturer la beauté des mains d’hommes et de femmes aux parcours différents et provenant du monde entier. Tribus, villes et villages… Laissez toutes ces mains vous raconter leurs histoires !

 

Omar Reda : SiteInstagramTwitter

 

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The Woman Who Never Existed, une série photo signée Anja Niemi

Anja Niemi s’inspire des paroles de l’actrice italienne Eleonora Duse pour réaliser la série The Woman Who Never Existed (La Femme Qui N’a Jamais Existé)Plutôt discrète et réservée, l’actrice avait un jour répondu à un journaliste New-yorkais trop insistant : “Loin de la scène, je n’existe pas.”

The Woman Who Never Existed raconte l’histoire d’un personnage fictif directement inspiré des mots d’Eleonora Duse : une actrice qui n’existe que devant son public et qui disparaît dans l’ombre dès que celui-ci détourne le regard.

Également actrice et metteuse en scène, la photographe norvégienne raconte une histoire dans chacune de ses séries et chaque image devient une étape narrative. Comme toujours, Anja Niemi travaille seule : elle se met en scène pour jouer les personnages dans toutes ses oeuvres.

« Je photographie, je mets en scène, je joue chaque personnage moi-même. Je préfère le faire ainsi. Je me sens plus à l’aise, seule. Étrangement, je déteste me faire tirer le portrait »

À travers ses photos décalées à la limite de l’autoportrait, Anja Niemi soulève la question de l’autre, du double, de l’alter-ego.

 

The Woman Who Never Existed Anja Niemi _ The Little Black Gallery
Photo – Anja Niemi, The Woman Who Never Existed

Découvrez l’exposition « The Woman Who Never Existed »
du jusqu’au 22 avril 2017 à la la galerie Photo 12,
10-14, rue des Jardins Saint-Paul, 75004 Paris

Retrouvez tout le travail d’Anja Niemi sur son site !

Et rejoignez-nous pour progresser en Portrait ! Dates et inscriptions pour tous nous cours ici !

A LIRE AUSSI

  • Les autoportraits surréalistes de Noell Oszvald
  • Les portraits de femmes en noir et blanc par Jan Scholz
  • Autoportrait surréaliste et romantique par la photographe Fares Micue
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© Edward Curtis – An Oasis in the Badlands - Sioux, 1905

The North American Indian, ou l'oeuvre monumentale du photographe Edward S. Curtis

© Edward Curtis – An Oasis in the Badlands - Sioux, 1905
© Edward Curtis – An Oasis in the Badlands – Sioux, 1905

Né en 1868 aux États-Unis, le célèbre photographe ethnologue Edward Sherrif Curtis a littéralement écrit une partie de l’histoire de son pays.

Déjà en voie de disparition à l’époque, les Indiens d’Amérique du Nord et leurs différents modes de vie fascinaient le photographe. En 1907, Edward S. Curtis entreprend un projet ethnographique et artistique monumental : un inventaire photographique des 80 tribus amérindiennes encore existantes.

Edward S. Curtis Autoportrait, 1899
© Edward S. Curtis Autoportrait, 1899

The North American Indian immortalisera ainsi les derniers vestiges des peuples natifs d’Amérique du Nord.

« It’s such a big dream, I can’t see it all. »
Edward Curtis

 

© Edward Curtis – The Piki Maker, 1906
© Edward Curtis – The Piki Maker, 1906

Pour rencontrer ces 80 tribus amérindiennes, Edward S. Curtis aurait traversé les États-Unis environ 125 fois – un record pour l’époque. Certains l’appelaient “L’attrapeur d’ombres”, pour d’autres, il était “l’Homme-Qui-Dort-Sur-Son-Souffle”, façon poétique de désigner celui qui dormait sur un matelas pneumatique… Quels que soient les noms qu’on lui a donné, le photographe a su faire preuve d’une patience et d’une ouverture d’esprit incroyables pour gagner la confiance de toutes ces tribus et le laisser raconter leurs histoires en images.

Ce projet artistique et ethnographique ambitieux a été soutenu par le président Theodore Roosevelt et financé par John Pierpont Morgan, magnat de l’acier et du chemin de fer.

Edward S. Curtis aura consacré presque 30 ans à la réalisation de son oeuvre. En tout, il aura fixé 40 000 clichés de tribus apaches, sioux ou navajo sur ses plaques de verre, juste avant qu’elles ne disparaissent, englouties par l’Amérique moderne.

The North American Indian, oeuvre comportant au total 20 volumes, a vu son édition limitée à 272 exemplaires.
Si Edward S. Curtis s’est éteint en 1952, oublié de tous et sans le sou, les copies originales de ses travaux sont désormais si rares qu’elles valent une fortune.

Aujourd’hui, son oeuvre est reconnue et appréciée à l’échelle internationale.

Si vous êtes intéressés par le travail d’Edward S. Curtis, vous pouvez vous rendre sur les sites suivants :

edwardcurtis.com

edwardcurtisbooks.com

edwardcurtisfoundation.org

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Onirisme et féminité par la photographe Anaïs Popy

Photo : Anaïs Popy / Mannequin (Autoportrait)
Photo : Anaïs Popy / Mannequin (Autoportrait)

 

Photographe depuis près de 6 ans, Anaïs Popy nous transporte dans son univers féminin et onirique empreint d'une touche romantisme. Située à Clermont-Ferrand, en Auvergne, Anaïs Popy en profite pour faire entrer ses modèles en symbiose avec la nature des environs.

Mon inspiration première : la femme, sa beauté, ce qu’elle dégage.”

 

Anaïs Popy et son parcours photographique

Grâce à un père photographe et peintre, Anaïs Popy a baigné dans l'univers artistique depuis son plus jeune âge.

Elle a fait ses premiers pas en tant que photographe par l'autoportrait.

Armée d'un petit appareil photo numérique qui lui avait été offert, elle a trouvé en l'autoportrait un moyen de combattre son manque de confiance en elle. En plus de l'aider à surmonter ce complexe, l'autoportrait lui a permis de développer sa créativité et son sens artistique.

 

Photo : Anaïs Popy / Ballerine (Autoportrait)
Photo : Anaïs Popy / Ballerine (Autoportrait)

 

Une affirmation de son sytle unique

Tout en continuant à réaliser des autoportraits toujours très féminins et pleins d'émotion, Anaïs Popy s'est tournée vers d'autres visages. Elle a d'abord demandé à ses amies de poser pour elle, puis a commencé à collaborer avec des modèles.

À mesure que la photographie se transformait en passion dévorante, Anaïs Popy affirmait son style.

“Ce que j’aime par-dessus tout, c’est concevoir des séances à thème pour ensuite les retravailler de façon à créer des images uniques.”

Pour créer ces images uniques, Anaïs Popy accorde énormément de temps et d'importance à la retouche et à la création sous Photoshop. C'est une étape cruciale dans la réalisation de ses images.

“C’est le moment où tout prend forme, le portrait se transforme pour en faire oublier la photo de base.”

 

Photo : Anaïs Popy / Renaissance
Photo : Anaïs Popy / Renaissance

 

À 26 ans, Anaïs Popy est désormais photographe professionnelle et vit de sa passion à temps plein.
Son but : montrer à toutes les femmes qu'elles peuvent être sublimées et nous faire rêver...

 

Photo : Anaïs Popy / The escape (Autoportrait)
Photo : Anaïs Popy / The escape (Autoportrait)

 

Photo : Anaïs Popy / Duo
Duo - Anaïs Popy 

 

Photo : Anaïs Popy / Endormie
Endormie - Anaïs Popy

 

Photo : Anaïs Popy / Gilia
Gilia - Anaïs Popy 

 

 

 

Photo : Anaïs Popy / Fanny
Fanny - Anaïs Popy 

 

Photo : Anaïs Popy / Audrey
Audrey - Anaïs Popy

 

Photo : Anaïs Popy (Autoportrait)
Photo : Anaïs Popy (Autoportrait)

Retrouvez tout le travail d'Anaïs Popy sur son site et allez la suivre sans plus attendre sur Facebook et Instagram !


Elisa de Rosa, une success story grainedephotographe.com !

La photographe Elisa de Rosa
La photographe Elisa de Rosa. Jeune photographe talentueuse passée par la Grainedephoto AcademyElisa de Rosa est surtout connue pour ses superbes photos de paysage

 

 

Une envie de revenir remplie de souvenirs

Originaire de la banlieue parisienne, elle a emménagé dans la capitale puis a commencé à voyager en véritable globe-trotteur. Son envie de ramener le plus de souvenirs possible et sa crainte d'oublier toutes les merveilles qu'elle allait voir l'ont poussée à investir dans son tout premier reflex en 2014, un Sony a35. Elisa s'est ensuite tournée vers un Sony a65 qu'elle a gardé pendant 2 ans et avec lequel elle a réalisé la majeure partie de ses photos, avant d'investir dans un Nikon D750.

© Elisa de Rosa, Ecosse
© Elisa de Rosa, Ecosse
© Elisa de Rosa
© Elisa de Rosa, Norvège
  • La formation de Elisa de Rosa à la Grainedephoto Academy

Développant une véritable passion pour la photographie, Elisa a eu envie de suivre une formation technique de qualité où elle serait accompagnée par des professionnels : elle a choisi la Grainedephoto Academy.

Cette formation complète s'étalant sur plusieurs mois lui a non seulement permis d'acquérir toutes les bases techniques, de bénéficier de conseils pour progresser et donner du sens à ses photos, mais aussi de rencontrer et d'échanger avec de nombreux autres passionnés de photo.

“J'ai compris que la photo n'était pas juste une affaire de réglages techniques mais aussi une manière de regarder les choses.”

© Elisa de Rosa, Islande
© Elisa de Rosa, Islande

Témoignage de Térence Pique, son professeur :

“J'ai tout de suite senti qu'il y avait quelque chose chez Elisa. Ses images étaient déjà très travaillées.”

Au terme de sa formation Grainedephoto Academy, Elisa et ses camarades ont pu exposer leurs travaux dans notre galerie.

Je conseille cette formation car je pense que la formule et la qualité des cours permettent vraiment de progresser. Les petits plus : l'expo de fin d'année dans la galerie, l'ambiance qui est très bonne et les locaux très bien situés.”

© Elisa de Rosa, Islande
© Elisa de Rosa, Islande
  •  Prix National Geographic Traveler

En avril 2016, Elisa a participé à un concours photo sur le thème du voyage en immersion. Il a été organisé par l'agence Comptoir des voyages en partenariat avec Instagram France et National Geographic Traveler.

Notre jeune pousse a remporté le premier prix grâce à la photo ci-dessous, un voyage d'un mois autour du monde, et a été publiée dans le National Geographic Traveler n°3. Enfin, le 15 septembre elle part parcourir le monde, elle est revenue un mois plus tard avec des milliers de photos à partager.

Tanzanie, Inde, Hong Kong, Laos, Nouvelle-Zélande et Pérou... Elisa de Rosa sait faire voyager son public à travers ses images, toutes plus splendides les unes que les autres.

© Elisa de Rosa, Autriche
© Elisa de Rosa, Autriche - Photo récompensée par National Geographic Traveler
  • Après la Grainedephoto Academy, quelle suite pour Elisa de Rosa ? 

Nourrissant depuis ses débuts un attrait tout particulier pour la photographie de paysage, ce qu'elle réussit à merveille. La Grainedephoto Academy lui a donné envie de s'essayer à la street photo et au portrait.

Ensuite, notre Graine de Photographe s'est d'ailleurs lancée dans l'activité de photographe professionnelle pour particuliers et immortalise désormais visages d'enfants, mariages et autres événements... toujours en lumière naturelle !

Laissez-vous embarquer dans un voyage à travers le monde grâce aux magnifiques photos d'Elisa de Rosa !

© Elisa de Rosa, Norvège
© Elisa de Rosa, Norvège
© Elisa de Rosa
© Elisa de Rosa, Islande
© Elisa de Rosa, Islande
© Elisa de Rosa, Islande
© Elisa de Rosa, Islande
© Elisa de Rosa, Islande
© Elisa de Rosa, Islande
© Elisa de Rosa, Islande

 

© Elisa de Rosa, Ecosse
© Elisa de Rosa, Ecosse
© Elisa de Rosa
© Elisa de Rosa, Canada
© Elisa de Rosa
© Elisa de Rosa, Laos
© Elisa de Rosa
© Elisa de Rosa, Cuba
© Elisa de Rosa
© Elisa de Rosa, Etats-Unis
© Elisa de Rosa
© Elisa de Rosa, Tanzanie
© Elisa de Rosa
© Elisa de Rosa, Valensole
© Elisa de Rosa
© Elisa de Rosa, Laos

 

Elisa de Rosa
Elisa de Rosa

Isabelle Huppert - Andrew H. Walker/Shutterstock

Celebrity diptych project par le photographe Andrew H. Walker

Isabelle Huppert - Andrew H. Walker/Shutterstock
Isabelle Huppert - Andrew H. Walker/Shutterstock

Savoir séparer vie professionnelle et vie privée. Dans le monde du cinéma, les acteurs se doivent de toujours jouer un rôle, et encore plus en matière d’image.
Andrew H. Walker, photographe chez Shutterstock, a profité du Toronto Film Festival pour créer une série de portraits en diptyque des célébrités présentes pour l’occasion.

Pour sortir de la routine shooting promotionnel, photocall de ce genre d’évènement, Andrew a photographié ses modèles (majoritairement des acteurs) en deux-temps. D’un côté, les stars ont pris la pose publique et professionnelle que l’on attend d’eux, et de l’autre une pose de leur choix, plus naturelle, telle que celle qu’ils adopteraient avec leurs proches.
Au-delà du simple portrait de célébrité, le photographe Andrew H. Walker a désiré mettre en avant la dualité entre l’intime et le public, et laisser la possibilité à ces stars du grand écran de se montrer au naturel ! Un travail en miroir, mettant en opposition deux facettes d’une même personne.

Isabelle Huppert, Amy Adams, Anne Hathaway, Ewan McGregor, Pharell Williams, Lily-Rose Depp, Richard Gere…Venez découvrir Celebrity Diptych Project ! Une série de portraits originale et intime !

 

Savoir séparer vie professionnelle et vie privée. Dans le monde du cinéma, les acteurs se doivent de toujours jouer un rôle, et encore plus en matière d’image.
Andrew H. Walker, photographe chez Shutterstock, a profité du Toronto Film Festival pour créer une série de portraits en diptyque des célébrités présentes pour l’occasion.

Pour sortir de la routine shooting promotionnel, photocall de ce genre d’évènement, Andrew a photographié ses modèles (majoritairement des acteurs) en deux-temps. D’un côté, les stars ont pris la pose publique et professionnelle que l’on attend d’eux, et de l’autre une pose de leur choix, plus naturelle, telle que celle qu’ils adopteraient avec leurs proches.
Au-delà du simple portrait de célébrité, le photographe Andrew H. Walker a désiré mettre en avant la dualité entre l’intime et le public, et laisser la possibilité à ces stars du grand écran de se montrer au naturel ! Un travail en miroir, mettant en opposition deux facettes d’une même personne.

Isabelle Huppert, Amy Adams, Anne Hathaway, Ewan McGregor, Pharell Williams, Lily-Rose Depp, Richard Gere…Venez découvrir Celebrity Diptych Project ! Une série de portraits originale et intime !

Retrouvez l’ensemble du travail de Andrew H. Walker sur son site

Et rejoignez nous pour un cours studio proDates et inscriptions pour tous nous cours ici !

 

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