Votre agenda photo de Janvier 2026
Janvier 2026 s’ouvre avec son calme hivernal et ses nouvelles résolutions créatives. Après l’effervescence des fêtes, la ville retrouve son rythme doux : lumières d’hiver, brume matinale, rues tranquilles… autant de scènes parfaites à immortaliser.
C’est le moment idéal pour renouer avec votre appareil photo, explorer de nouvelles idées et laisser parler votre regard. Que vous soyez passionné de longue date ou débutant motivé, laissez-vous inspirer par nos expositions photo incontournables pour débuter l’année sous le signe de la créativité.
Découvrez notre sélection d’expositions photo de janvier 2026.
Les expositions photo
Humanae - Angelica Dass
Avec Humanae, exposé au Centre culturel Bonnefoy à Toulouse jusqu’au 10 janvier 2026, Angelica Dass compose un immense nuancier de la peau humaine, bien loin des catégories simplistes qui réduisent la diversité à quelques mots. Son projet, mené à travers le monde, met en lumière une palette infinie de teintes, révélant la richesse de chaque visage et l’absurdité des classifications raciales. À travers ces portraits frontaux et égalitaires, l’artiste rappelle que la couleur n’est jamais une identité mais une nuance, un héritage, une histoire. Une œuvre forte et universelle, qui invite à regarder l’autre, et soi-même, autrement.
Lieu : Centre culturel Bonnefoy, Toulouse
Nitassinan - Yann Datessen
Avec Nitassinan, présenté à Stimultania, Pôle de photographie à Strasbourg du 30 janvier au 25 avril 2026, Yann Datessen nous plonge au cœur du territoire ancestral des Innus. À travers une photographie sensible et immersive, il capte autant la beauté brute des paysages que la présence discrète mais essentielle des communautés qui les habitent. Son travail révèle un lien intime à la terre, un espace où nature, mémoire et spiritualité se confondent. Une série qui interroge notre rapport au territoire et la manière dont il façonne notre identité.
Vernissage le 20 janvier à partir de 18h.
Lieu : Stimultania – pôle de photographie, Strasbourg
Archipictural - Toshio Shibata
Avec Archipictural, présenté à la Galerie Polka à Paris jusqu’au 17 janvier 2026, Toshio Shibata nous entraîne dans une exploration fascinante des infrastructures humaines. Loin du documentaire traditionnel, son regard transforme barrages, routes et digues en compositions graphiques où lignes, textures et géométries deviennent les véritables sujets. À travers ces paysages façonnés par l’homme, Shibata révèle une beauté inattendue, faite d’équilibre, de rigueur et de silence. Une série qui interroge la frontière entre nature et construction, abstraction et réalité.
Lieu : Galerie Polka, Paris 3
L'instant infini - Lia Pasqualino
Avec L’instant infini, exposé à l’Institut culturel italien à Paris jusqu’au 30 janvier 2026, Lia Pasqualino capture des fragments de vie suspendus, où l’ordinaire bascule dans une poésie silencieuse. Son regard attentif saisit des gestes, des atmosphères et des moments furtifs qui, mis bout à bout, révèlent la profondeur des instants les plus simples. Une photographie sensible et intemporelle, qui invite à ralentir et à contempler ce qui, souvent, nous échappe.
Lieu : Institut culturel italien, Paris 7
Immersion - Joel Meyerowitz
Jusqu’au 17 janvier 2026, à la Galerie Polka à Paris, Immersion de Joel Meyerowitz propose un véritable plongeon dans l’un des regards les plus emblématiques de la street photography. Le photographe américain y dévoile des images où le quotidien devient scène, rythme et couleur. Une exposition qui célèbre l’énergie du réel et la magie de l’imprévu, rappelant pourquoi Meyerowitz demeure une figure incontournable de la photographie contemporaine.
Lieu : Galerie Polka, Paris 3
Le bruit de la neige - Catherine Henriette
À la Galerie Leica, à Paris, Le bruit de la neige de Catherine Henriette plonge le spectateur dans un univers où silence et texture se mêlent. Jusqu’au 28 mars 2026, ses photographies explorent la délicatesse des paysages enneigés et capturent l’essence d’un monde suspendu, invitant à la contemplation et à la poésie visuelle.
Lieu : Galerie Leica, Paris 8
Atlas des échos - Sarah van Rij
À la Maison européenne de la photographie, à Paris, Atlas des échos de Sarah van Rij, jusqu’au 25 janvier 2026, invite à explorer les résonances invisibles de notre monde. À travers ses images, l’artiste met en lumière les traces et les vibrations qui façonnent nos paysages et nos mémoires, offrant une expérience contemplative et sensible.
Lieu : MEP, Paris 4
Saamis, nous vivions dans la toundra - Natalya Saprunova
Du mardi 20 janvier au jeudi 19 février 2026, Nous vivions dans la toundra de Natalya Saprunova est à découvrir au Centre Jean Verdier, Paris. À travers cette série de reportage photo, la photographe nous plonge dans des paysages nordiques saisissants, où solitude, mémoire et poésie visuelle se rencontrent pour raconter des histoires humaines intimes.
Vernissage le jeudi 22 janvier 2026 de 19h à 21h
Lieu : Centre Jean Verdier, Paris 10
Le modernisme brésilien - Gaspar Gasparian
Jusqu’au 7 mars 2026 à la Galerie Rouge, Le modernisme brésilien de Gaspar Gasparian invite à un voyage au cœur de l’architecture et de l’urbanisme modernistes du Brésil. À travers son objectif, l’artiste révèle la beauté, la rigueur et l’innovation de ce mouvement, offrant un regard à la fois précis et poétique sur ces chefs-d’œuvre emblématiques.
Lieu : Galerie Rouge, Paris 4
Global Warning - Martin Parr
Du 30 janvier au 24 mai 2026, Global Warning de Martin Parr se tient au Jeu de Paume, Paris. Cette exposition explore le regard singulier du photographe britannique sur les enjeux environnementaux contemporains, mêlant humour et critique sociale pour interroger notre rapport à la planète et à ses transformations.
Lieu : Jeu de Paume, Paris 1
Evenks, gardiens des richesses de Yakoutie - Natalya Saprunova
Du 5 au 22 janvier 2026, découvrez l’exposition Evenks, gardiens des richesses de Yakoutie de la photographe Natalya Saprunova à la Galerie Graine de Photographe à Paris. Photographe documentaire spécialiste des reportages dans le Grand Nord, Natalya Saprunova documente le peuple des Evenks, pour lesquelles la nature environnante est au coeur de leur vie. Chasseurs traditionnels, ils parcourent les forêts orientales de Sibérie depuis des siècles.
Vernissage de l’exposition le jeudi 15 janvier 2026 en présence de Natalya Saprunova.
Lieu : Galerie Graine de Photographe, Paris 4
Evénements
Le Chant des forêts – Vincent Munier
Après La Panthère des neiges, Vincent Munier nous emmène au cœur des forêts des Vosges avec Le Chant des forêts. Un film sensible et contemplatif où se croisent trois générations, Vincent, son père Michel, naturaliste, et son fils Simon, unies par la transmission et l’observation du vivant.
Cerfs, renards, oiseaux rares, lynx et le mythique Grand Tétras apparaissent au fil d’une immersion silencieuse, entre patience et émerveillement.
Sorti le 17 décembre, le film est à découvrir en janvier. Un rendez-vous tout public, profondément ancré dans la nature et la transmission.
Ce que vous pouvez encore voir de nos agendas précédents
- L’Amazonie hospitalière – Musée des Confluences, Lyon
- Pétanque ! de Hans Silvester – Musée d’Histoire de Marseille, Marseille
- Performer l’invisiblede Hoda Afshar – Musée du Quai Branly Jacques Chirac, Paris 7
- Marsiho e la mar – La Buzine, Marseille
- Banlieue, territoire-fiction – Le Lavoir Numérique, Gentilly
- POLARAKI – Mille polaroids d’Araki Nobuyoshi – Musée Guimet, Paris 16
- L’équilibre du carré de Gaston Paris – Galerie Roger-Viollet, Paris 6
- Le bruit du monde de Luc Delahaye – Jeu de Paume, Paris 8
- Wish This Was Realde Tyler Mitchell – Maison Européenne de la Photographie, Paris 4
- Migrations et Climat. Comment habiter notre monde ? – Palais de la Porte Dorée, Paris 12
- Modernité révélée de Edward Weston – La Maison Européenne de la Photographie, Paris 4
- Vanessa Paradis « Paradissime » – La Galerie de l’Instant, Paris 3
- L’épreuve du réel. Chapitre 2 : La photographie à l’épreuve de la fiction – Galerie VU’, Paris 15
- Men – Exposition collective – Espace Art Absolument, Paris 6
- L’humus du monde de Sophie Zénon – Le Château d’Eau, Toulouse
- Révolte et Beauté – Le bleu du ciel, Lyon
- Afghanistan no woman’s land de Véronique de Viguerie – La Scam, Paris 8
- L’œil de Roger Corbeau, Photographies de cinéma – Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, Paris 13
- Le Monument de Sibylle Bergemann – Fondation Henri Cartier-Bresson, Paris 3
- Regards contemporains. Lauréats des prix photographiques à la BnF – BNF, Paris 6
End of the Road d'Hélène Havard, quand l'Amérique devient silencieuse
Photographe française installée depuis plus de dix ans dans le Pacifique, Hélène Havard s’est d’abord fait connaître pour son travail de photographie de mariage, qu’elle réalisait avec son mari, entre la France et la Polynésie française. Formée à la photographie à Paris, elle développe en parallèle un univers artistique singulier, profondément marqué par le cinéma, les atmosphères pastel et les récits suspendus. Cette double pratique, à la fois ancrée dans le réel et tournée vers l’onirisme, a façonné un regard sensible, où réalité et imaginaire se rejoignent.
Avec End of the Road, Hélène Havard signe une série mélancolique réalisée au cœur de l’Ouest américain. Ses images dévoilent une Amérique silencieuse où les routes désertes, les motels oubliés et les paysages infinis semblent baignés dans un rêve. Un voyage visuel où le réel s’efface doucement pour laisser place à une poésie de l’entre-deux.
La photographie comme exploration intérieure
Plus qu’un simple voyage, End of the Road est une traversée intérieure. Hélène Havard y interroge notre rapport aux lieux abandonnés, mais aussi notre fascination pour la fin des choses : fin d’un voyage, fin d’une route, fin d’un monde tel qu’on l’imaginait.
Cette série prolonge son attrait pour les espaces vides, les lieux oubliés, déjà présents dans ses travaux réalisés à Cuba ou dans le Pacifique, où elle cherche toujours cette frontière trouble entre présence et absence. Chez elle, l’image n’est jamais seulement descriptive : elle devient un territoire d’émotion, de projection et de fiction.
Une esthétique pastel entre poésie et solitude
La signature visuelle d’Hélène Havard repose en grande partie sur sa palette de couleurs douces, immédiatement reconnaissable. Tons rosés, bleus pâles, nuances délavées : ses images adoptent une esthétique pastel qui donne à l’Ouest américain une atmosphère particulière.
Ce choix visuel contribue à atténuer la rudesse des lieux et à mettre en valeur l’usure du paysage. Les scènes semblent légèrement en suspens, comme si elles appartenaient à un temps ralenti. Sous ces teintes apaisées, la solitude des espaces devient plus lisible, presque apaisante.
Une Amérique qui se regarde autrement
En détournant l’iconographie classique du road trip, Hélène Havard nous invite à repenser notre vision de l’Ouest américain : non plus comme un territoire de conquête, mais comme un espace de mémoire.
Un espace où l’on avance lentement, où chaque arrêt devient une parenthèse, où la fin de la route n’est pas une limite mais une invitation.
Dans un monde saturé d’images, End of the Road offre une pause, un souffle, un territoire suspendu.
Un regard singulier, une artiste à suivre
Avec End of the Road, Hélène Havard confirme une écriture photographique rare, profondément narrative, nourrie par le cinéma.
Son travail explore la frontière entre réel et imaginaire avec une délicatesse qui lui est propre. Certaines de ses images, aujourd’hui utilisées comme couvertures de romans à travers le monde, témoignent de cette capacité à créer des univers visuels chargés d’atmosphère et de récit.
Sasha Mongin, révélation de la Bourse du Talent 2025
Sasha Mongin, fraichement lauréate de la Bourse du Talent 2025, une compétition organisée par Picto Foundation et Gens d’Images récompensant les photographes émergents, fait partie de cette nouvelle génération de photographes dont le travail puise sa force dans l’expérience vécue. Son approche est sensible, frontale, profondément humaine. Depuis son adolescence, la photographie l’accompagne comme un refuge, une langue parallèle capable d’exprimer l’indicible.
Aujourd’hui installée à Paris après une formation aux Gobelins, elle poursuit son œuvre, « Le mourant qui ne mourait pas » où se mêlent mémoire familiale, douleur transfigurée et poésie visuelle. Elle s’impose désormais comme une artiste à suivre, avec une écriture photographique qui relie le personnel et l’universel.
Une série née d’une urgence intérieure
La série récompensée est le résultat d’un retour au passé. Un face-à-face nécessaire avec l’enfant qu’elle a été, avec une histoire marquée par la maladie et l’absence de son père, touché par le VIH. La photographie est entrée dans la vie de Sasha Mongin à l’adolescence. Si elle a commencé avec le noir et blanc, en développant le tirage argentique au laboratoire, cette pratique passionnée s’est progressivement affirmée comme un véritable langage.
Cette passion s’est développée jusqu’à devenir le moyen de porter ce projet qu’elle décrit comme un geste d’amour envers ses parents : un hommage à la fois lumineux et douloureux.
L’image comme voix, l’œuvre comme éveil
À travers son travail, Sasha Mongin cherche avant tout à sensibiliser le public aux sujets intimes et sociétaux qui traversent son histoire. La photographie devient chez elle un outil de transmission, un moyen d’ouvrir un dialogue sur ce qui est souvent tu : la maladie, l’absence, la construction de soi après le traumatisme.
Plutôt que d’illustrer frontalement, elle privilégie la suggestion, les symboles, les gestes, laissant à chaque spectateur la place d’interpréter et de ressentir. Sa série se situe dans cet entre-deux délicat, entre documentaire et poésie visuelle.
Une distinction qui ouvre des horizons
La Bourse du Talent lui offre un tremplin majeur : accompagnement professionnel, reconnaissance institutionnelle et surtout une exposition à la BnF, une étape essentielle dans la visibilité d’une jeune auteure. Cette récompense lui permet aujourd’hui de poursuivre sereinement la finalisation de la série, avec le souhait qu’elle circule bientôt en France et rencontre le public qu’elle mérite.
« Recevoir cette distinction est un véritable soutien. Elle m’encourage à poursuivre ce chemin, à mener le projet jusqu’au bout. La Bourse du Talent offre aussi une opportunité précieuse : présenter ce travail à Paris, dans un lieu aussi prestigieux et symbolique que la BnF. C’est un immense honneur. » – Sasha Mongin
De nouveaux chapitres en préparation
Sasha Mongin travaille déjà sur l’édition d’un livre, une forme qui lui tient à cœur, prévu pour fin 2026. En parallèle, elle développe un projet ambitieux mêlant photographie et performance avec l’artiste Muriel Nisse, et nourrit le désir profond de repartir en Chine pour initier une nouvelle création. Sa trajectoire se dessine comme une marche continue, affirmant peu à peu un regard à suivre.
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Nos idées de cadeaux photo pour Noël 2025
Cette année encore, Noël approche à grands pas… et avec lui, la grande question : quel cadeau offrir à un passionné de photographie ? Que votre proche débute tout juste ou qu’il maîtrise la photo à la perfection, vous trouverez forcément une idée qui lui fera briller les yeux au pied du sapin. Graine de Photographe a rassemblé ses plus belles idées cadeaux Noël : des objectifs photo aux accessoires, passant par des gadgets pratiques, vous aurez de quoi offrir bien plus qu’un simple présent !
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Un trépied
Un trépied est un accessoire essentiel pour tout photographe. Qu’il s’agisse de paysage ou de portrait, il stabilise votre appareil et vous aide à éviter les images floues. Choisir le bon modèle peut toutefois être difficile : il doit être à la fois robuste, léger et compact, afin de rester fiable en toutes circonstances. Graine de Photographe vous présente le Neewer TP12, un trépied ultra-compact et solide, capable de se glisser facilement dans n’importe quel sac photo.
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Un abonnement à un logiciel de retouche photo : Luminar Neo
Offrez un abonnement Luminar Neo pour Noël 2025 et mettez entre les mains de vos proches l’outil idéal pour magnifier leurs photos !
Grâce à son interface intuitive et à ses fonctionnalités professionnelles, Luminar Neo permet de transformer en quelques clics des images simples en véritables créations. Depuis novembre, Luminar Neo a lancé Luminar Ecosystème, cette nouveauté très attendue qui vous permet de travailler de manière synchronisée sur mobile, tablette et ordinateur !
Qu’il s’agisse de retouches rapides ou d’ajustements plus poussés, ce logiciel convient parfaitement aux passionnés de photo. Un cadeau qui saura séduire aussi bien les débutants que les photographes confirmés, en leur offrant une expérience de retouche unique.
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Une Masterclass ou un Workshop Photo Graine de Photographe
Offrez à vos proches la possibilité de découvrir des techniques photo avancées ce Noël grâce à nos Masterclass et Workshop exclusifs !
Qu’il s’agisse de Portrait, de Reportage ou de Retraite photographique, ces formations sont parfaites pour affiner son regard et approfondir sa maîtrise de la photographie.
- Masterclass Portrait à Paris avec Arnault Joubin
- Masterclass Reportage Photo à Paris avec Natalya Saprunova
- Workshop Retraite photographique près de Royan avec Pidz, photographe professionnel et Marc Blaise, coach et médiateur formé au MBSR
Un cadeau de Noël 2025 original et inspirant pour tous les passionnés d’image, mêlant pratique sur le terrain et conseils d’experts dans des lieux propices à la créativité. Du fine art au reportage en passant par l’équestre… il y en a pour tous les goûts !
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Une tasse objectif photo
La tasse en forme d’objectif photo est un petit clin d’œil indispensable pour tous les passionnés d’image !
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Le Insta360 Go Ultra Standard Kit
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France, un album de famille de Yann Arthus-Bertrand
Avec ce projet ambitieux, Yann Arthus-Bertrand dresse un portrait vibrant de notre pays et de ceux qui le font vivre au quotidien. À travers des centaines de visages photographiés partout en France, il donne la parole à celles et ceux qu’on entend trop peu : travailleurs discrets, familles ordinaires, personnalités du quotidien… Une véritable archive du présent, à la fois humaniste et émouvante, qui montre une France diverse, fière et bien vivante.
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Un appareil photo numérique Paper Shoot
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Son design coloré et moderne apporte une touche unique à votre expérience photographique tout en protégeant l’appareil efficacement. Idéal pour les créateurs qui aiment personnaliser leur matériel, il combine esthétique et praticité au quotidien. Que ce soit en ville, en voyage ou lors de sorties créatives, ce set rend votre équipement aussi vibrant qu’inspirant.
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Un sac à cordon OneGo – PGYTECH
Vous cherchez une idée cadeau utile pour un proche toujours en mouvement ? Le sac à cordon OneGo de PGYTECH est une solution simple et pratique pour transporter l’essentiel au quotidien. Léger, polyvalent et facile à emporter partout, il s’adapte aussi bien aux sorties photo qu’aux activités de tous les jours. Un compagnon fiable et fonctionnel, parfait à offrir pour faciliter l’organisation sans prise de tête.
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Un chèque cadeau Graine de Photographe
Vous souhaitez offrir un cours photo mais vous hésitez sur les dates ou le niveau de vos proches pour Noël 2025 ? Choisissez la simplicité avec le chèque cadeau Graine de Photographe ! Déterminez le montant, profitez de réductions sur les packs, et laissez vos proches sélectionner la formation qui leur convient le mieux. Le bon est envoyé immédiatement par mail et est valable un an : idéal pour s’organiser tranquillement et en profiter à son rythme.
Le DJI Osmo Pocket 3
On ne vous apprend rien en disant qu’une caméra compacte, c’est pratique. Ça l’est d’autant plus quand on veut filmer à tout moment sans s’encombrer. Pour capturer des vidéos fluides et nettes en toutes circonstances, il faut un appareil léger, facile à prendre en main et toujours prêt à enregistrer. Le DJI Osmo Pocket 3 remplit parfaitement ce rôle : stabilisé, intuitif et ultra-portable, il permet de filmer aussi bien des voyages, des balades en ville ou des moments du quotidien, sans se poser de questions. Son format discret et ses fonctions avancées en font un compagnon idéal pour ne jamais manquer un instant.
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Une boite à lumière
Une lightbox est l’alliée idéale pour créer des photos produits nettes et attractives. Bijoux, cosmétiques ou petites gourmandises : elle sublime chaque détail grâce à un éclairage uniforme.
La Studio Photo Portable répond parfaitement à ces besoins. Compacte, lumineuse avec ses 120 LED, et livrée avec 6 fonds PVC, elle se monte en un instant et vous suit partout. L’outil parfait pour des images professionnelles, simples à réaliser et toujours réussies.
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Une optique TTARTISAN
Choisir un objectif comme cadeau peut sembler compliqué, surtout si vous ne connaissez pas exactement le style ou le niveau de vos proches. Avec le TTArtisan 50mm f/0.95, ce casse-tête disparaît : cette optique allie performance et créativité. Son ouverture ultra-large permet de jouer avec la profondeur de champ, créant un bokeh doux et onirique qui fait ressortir chaque sujet avec élégance. Que ce soit pour des portraits intimes, des détails artistiques ou des scènes de rue pleines de vie, cet objectif transforme chaque cliché en une véritable œuvre. Léger et compact, il s’emporte partout et encourage chaque photographe à expérimenter librement, à révéler sa vision personnelle et à explorer de nouvelles façons de capturer la lumière.
Un cadeau qui ne se contente pas d’être utile : il inspire, émerveille et donne envie de photographier encore et encore.
L’objectif TTArtisan 50mm f/0.95, à partir de 199,2€ sur Studio Sport.
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Un mug meilleur photographe
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Idéal pour les pauses café au bureau, en studio ou lors du tri des photos, ce mug au message drôle et motivant fera sourire chaque photographe à chaque gorgée. Solide, pratique et plein de personnalité, il devient rapidement l’accessoire préféré de ceux qui aiment afficher leur passion tout en gardant une pointe d’autodérision.
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Un voyage photo
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Un appareil photo numérique
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Un livre photo
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Epson International Pano Awards 2025 - Les lauréats du concours photo
Les 16e éditions des Epson International Pano Awards viennent de couronner des photographes du monde entier. Entre paysages extrêmes, productions créatives et images immersives, cette compétition célèbre la technique et l’audace à grande échelle. Voici un tour d’horizon des principaux gagnants et de ce que leurs oeuvres racontent.
Qu’est ce que les Epson International Pano Awards ?
Fondés en 2009, les Epson International Pano Awards récompensent chaque année les meilleurs photographes panoramiques. Ils constituent aujourd’hui le plus grand concours au monde dédié à la photographie panoramique.
Le grand prix
Alex Wides, de son vrai nom Alessandro Cantarelli (Italie), est cette année le grand vainqueur. Grâce à sa maîtrise technique et son sens du cadrage en fond, l’italien remporte le titre de Open Photographe of the Year, ainsi que le prix Nature / Landscape, grâce à trois panoramas exceptionnels : Last Fireworks, Jackpot et Mann.
Dans Last FireWorks, Alex Wides capture un coucher de soleil explosif dans le désert algérien, avec des couches de nuages enflammés.
Jackpot est une vue en 360° prise en Norvège, lors d’une aurore boréale incroyablement lumineuse.
Enfin, Mann transporte dans les dolomites, avec une neige éclairée par la lune, dans des conditions extrêmes à -15°.
Prix Built Environment / Architecture – Vitaly Golovatyuk
Vitaly Golovatyuk (Russie) se distingue avec son panorama pris depuis Victoria Peak à Hong Kong, remportant le prix Built Environment / Architecture et le titre de Highest Scoring Vertical Image. Sa série verticale combine précision technique et créativité graphique, transformant l’architecture urbaine en un véritable spectacle visuel.
Prix Epson Digital Art – Daniel Viñé
Daniel Viñé (Espagne) remporte le prix Epson Digital Art pour son panorama Tides of Tradition ainsi que le RAW Planet Award pour son panorama Cathedral of Shadows. Ses images combinent maîtrise photographique et créativité numérique, racontant des histoires visuelles fortes tout en explorant le potentiel artistique du format panoramique.
Prix Amateur Photographe of the Year – Kevin Nyun
Pour le prix Amateur Photographe of the Year, c’est cette année Kevin Nyun (USA) qui en reçoit le prix grâce à une série bolivienne The Altiplano Landscape incluant Frozen et Remnants, des panoramas glacés et très ambitieux.
Curator’s Award – Chris Byrne
Chris Byrne (USA) reçoit le Curator’s Award pour son panorama contemplatif Elysium. Son image, prise en montagne séduit par sa composition apaisante et sa capacité à transmettre une atmosphère immersive.
See Differently - Flowers : quand la contrainte devient création
See Differently est un projet artistique conçu par un photographe dont la vision d’un oeil a été partiellement altérée à la suite d’un accident. Plutôt que de subir cette contrainte, il en a fait sa force créative. Sa série Flowers explore la beauté des fleurs, invitant le spectateur à regarder différemment le monde qui l’entoure.
Suite à son accident, l’artiste a décidé de faire de sa perception altérée un moteur de création. Avant son projet Flowers, il avait déjà exploré cette notion poétique dans son projet «Détente pendant l’attente», une série de photographies qui capturaient des couchers de soleils. Associés au bien être et à l’apaisement, le photographe a décidé d’exposer ses oeuvres dans les salles du milieu médical afin d’égayer ces dernières. Son travail témoigne de la capacité de l’art à transformer une contrainte en expression créative.
Dans Flowers, See Differently joue avec le flou, la profondeur de champ et le contraste, sublimant le détail et révélant la beauté dans l’imperfection. Son choix esthétique de fleurs isolées, sur fond noir aux teintes bleue dominante rend l’image raffinée, où la fleur devient une icône élégante.
À vous de capturer les détails !
Participez à l’atelier d’initiation à la macrophotographie de Graine de Photographe, et explorez les bases techniques et créatives de cette discipline en créant des images poétiques inspirées du monde naturel qui vous entoure !
See Differently : Site
Les chevaux devant l'objectif de Yann Arthus-Bertrand
Yann Arthus-Bertrand, parrain de Graine de Photographe depuis sa création, a récemment dévoilé son projet d’envergure sur les Français, qui s’est clôturé avec une magnifique exposition à l’Hôtel de Ville de Paris. Avant de cartographier la France grâce aux portraits de ses habitants, le célèbre photographe a sillonné le monde pendant près de quinze ans pour réaliser une série photo sur les Chevaux, cet animal qui partage un lien sacré avec l’Homme depuis des millénaires. Avec ce projet, Yann Arthus-Bertrand réalise un atlas mondial du cheval, dévoilant toute la beauté et la diversité des races.
Parti vivre au Kenya en 1976, Yann Arthus-Bertrand y développe sa passion pour la vie sauvage et le comportement animal. De retour en France, il se consacre à un projet au long court, Les Chevaux, qu’il va photographier à travers le temps. Animé par le lien fascinant entre humain et animal, il a parcouru le monde pendant quinze ans. De cette expérience naitra la série Les Chevaux, publiée en 2003, et demeurant l’un de ses projets les plus emblématiques. Afin d’obtenir une harmonie visuelle dans ce projet, Yann Arthus-Bertrand réalise le portrait des chevaux sur une même bâche en toile de jute. Il reprendra par ailleurs le concept avec son projet « Les Français ».
« Nous sommes tous fils ou petit-fils de paysans. Nos racines sont dans la terre, celle que cultivaient nos ancêtres. Ces gens qui exercent ce métier difficile ont conservé une proximité réelle, sensible, avec le monde animal et la nature. Ils ont un rapport très tendre avec l’animal. » – Yann Arthus-Bertrand
Plus qu’un sujet, le cheval devient pour Yann Arthus-Bertrand un symbole universel de liberté et d’harmonie. À travers ces portraits, on dessine le lien fascinant qui unit l’homme et l’animal.
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