PaysageS - La nouvelle exposition plongeant au cœur des techniques anciennes de la photographie
« On a dit qu’un paysage était un état d’âme, l’art aussi, l’art surtout, est un état d’
Graine de photographe vous fera voyager du 27 avril au 23 juin avec l’exposition collective PaysageS.
Bruno Fontana, Mélanie Jane Frey, Laure Maugeais, Thierry Nava, Laurent Villeret, Marie-Sophie Leturcq mettent en lumière la notion de paysage et de territoire avec leur écriture singulière.
Si chacune de leur approche est unique, ils ont fait le choix d’explorer le paysage en s’appropriant de manière contemporaine d’anciennes techniques de photographie : Cyanotype, Collodion Humide, Palladium, Sténopé, Héliotropes et Polaroids.
Les procédés techniques sont présents depuis l’invention de la photographie et constituent dans un certain sens la signature de l’artiste. Par un procédé particulier, un photographe va promouvoir le caractère singulier de son oeuvre. À travers les techniques anciennes ou alternatives dans le paysage, les artistes recherchent l’expérimentation, l’accident, la sensibilité de la chimie, l’émotion au travers de l’imperfection.
Dans cette exposition le paysage est questionné sous toutes ses formes de la géologie au territoire, à la fois réel et imaginaire. Dans chaque proposition c’est finalement la place de l’humain qui est au cœur des photographies.
Retrouvez l’ensemble du travail de ces artistes sur leurs sites respectifs : Marie-Sophie Leturcq (http://www.mariesophieleturcq.com/), Laure Maugeais(http://www.lauremaugeais.com/), Mélanie Jane Frey(http://www.melaniefrey.com), Laurent Villeret(http://laurentvilleret.com/), Bruno Fontana(https://fontana.book.fr/).
PaysageS vous invite à découvrir ou redécouvrir des techniques anciennes et alternatives et pour ceux qui souhaitent aller plus loin, Graine de photographe vous propose un Atelier Sténopé avec Thierry Nava.
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Les stations du métro de Montréal vues par le photographe Alexandre Chamelat
Alexandre Chamelat est un jeune photographe d’origine toulousaine. Désormais basé sur Bordeaux il a depuis rejoint l’équipe de Graine de Photographe ! Passionné par les voyages, ses travaux sont essentiellement le fruit de ses envies d’ailleurs, d’une rencontre, souvent en étroite relation avec l’Homme, la terre et le territoire.
Entre architecture urbaine et photo documentaire sa série Métro explore les entrailles de la métropole montréalaise. Toujours sous le même angle et en adoptant le même point de vue, Alexandre Chamelat nous présente à travers ses clichés différentes stations du métro de Montréal.
Jouant sur la symétrie et travaillant le point de fuite son travail met en lumière la multitude de textures de ces structures souterraines oscillant entre les côtés brut et froid du béton et les couleurs des mosaïques.
Derrière l’apparente simplicité des cadres, l’artiste a pourtant à chaque fois réalisé un panoramique à partir de 3 photographies. Avec ces superbes perspectives, le résultat final nous propulse directement à bord du métro montréalais !
Retrouvez l’ensemble du travail d’Alexandre Chamelat sur son site, et n’hésitez pas à le suivre sur Instagram et Facebook !
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Les portraits en noir et blanc du photographe Augusto De Luca
Né en 1955 à Naples, Augusto de Luca est devenu photographe professionnel au milieu des années 70. Après avoir joué les assistants pour l'un de ses amis, il se lance fasciné dans la photographie avec son appareil argentique. Il commence alors a immortaliser sa ville et ses monuments. Petit à petit, on lui demande d'exposer ses photos, et c'est ainsi que ce qui était à l'origine une passion devient une carrière.
Armé d'un Hasselblad ou d'un Leica, il aime travailler le long de la frontière entre photographie traditionnelle et expérimentale. Des études secondaires classiques et une licence de droit lui ont permis d'acquérir une culture classique qui a très fortement influencé son travail aux atmosphères surréaliste et métaphysique. Augusto de Luca se distingue principalement par ses portraits de personnalités célèbres du monde de la culture et du spectacle italien. Du cardinal de Naples, à l'artiste Riccardo Dalisi, en passant par la danseuse Carla Fracci et un très grand nombre de musiciens, le tout dans un format carré qu'il affectionne particulièrement. Des images en noir et blanc à la composition travaillée et à l'éclairage maîtrisé.
Ses photographies ont été exposées dans un grand nombre de galeries et institutions comme la Bibliothèque nationale de France, Rencontres Internationales de la photographie d'Arles, la chambre de députés de Rome, la Galerie des arts esthétiques de la Chine à Pékin, le Musée de la photographie de Charleroi. Ses travaux réalisés avec son Polaroid SX-70 furent notamment achetés par l’International Polaroid collection.
En plus de ses fameux portraits, Augusto de Luca est également l'auteur de pochettes d'albums, de panneaux publicitaires et de livres de photographie.
Découvrez un aperçu de ses portraits en noir et blanc :
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L'architecture urbaine mise en lumière par le photographe Simas Lin
Simas Lin est un jeune photographe lituanien de 25 ans. Son travail photographique se partage entre des sujets personnels et commerciaux. C'est à 16 ans qu'il se découvre une véritable passion pour la photographie. Il se lancera tout de même dans des études de commerce, avant d'abandonner en deuxième année pour se tourner vers la voie qui lui était destinée : la photographie.
Sa série Random Visual Sounds est composée comme un journal photographique. En effet, chaque image est réalisée sur un mode de prise de vue unique, aucune n'est liée à une autre image de la série. Pour réaliser ce projet en constante évolution, Simas a sillonné, parfois plus de cent kilomètres par jour, à travers Vilnius - là où il est né et où il vit toujours - à la recherche de nouveaux spots pour compléter sa collection. Ce travail est pour lui une étude critique de la ville, et de ce qui l'entoure, tout en lui permettant de visualiser sa philosophie quotidienne.
Toujours à la recherche d'expressions intenses, il documente les contrastes et excès de l'environnement urbain. Jouant sur les lumières et la nature, il compose ses photographies de façon très minimaliste et graphique, de jour comme de nuit.
La lumière est un outil tout particulier dans ces photographies qui mettent en valeur l'architecture urbaine. Pour ce faire, Simas Lin aime mélanger lumière naturelle et lumière artificielle pour des résultats surréalistes et mystérieux.
Pour l'éclairage, tout peut fonctionner - des phares de voitures aux lumières de studio sophistiquées. - Simas Lin
Son principal appareil photo est un Canon 5D Mark II avec un objectif Sigma 24-105mm et un objectif Canon 17-40mm. Mais Simas nous a précisé, que comme pour la lumière, tout ce qu'il a sous la main peut faire l'affaire.
Découvrez Random Visual Sounds :
Un journal de réponses photographiques aux questions philosophiques. - Simas Lin
Retrouvez l'ensemble du travail de Simas Lin sur son site et n'hésitez pas à le suivre sur Facebook et Instagram.
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Wardrobe Snacks la série photo qui va mettre d'accord fashionistas et fins gourmets !
La délicieuse série Wardrobe Snacks est le fruit de la collaboration entre Michelle Maguire – directrice artistique – et Kelsey McClellan -photographe.
Alliant mode et nourriture, cette série photo est un véritable régal pour les yeux. Chaque photographie est parfaitement composée et respecte une palette de couleur, du rouge au bleu en passant par le vert et l’orange. Les assortiments réalisés ici, rendent des aliments – tel qu’un « Filet-o-fish » – on ne peut plus photogénique, faisant place à un raffinement gustatif des plus esthétiques. Un projet qui fait concorder votre garde robe et votre en-cas !
Cette série a été inspirée par ces repas qui n’ont a pas le luxe d’être pris à table : le beau-père de Michelle qui pose son sandwich sur sa cuisse entre chaque bouchées (au diable les assiettes !) tandis qu’il regarde un film d’action à télévision ; un banlieusard à l’étroit dans un bus bondé en train d’extraire son casse-croûte d’un sac ou d’une poche; un employé à sa pause déjeuner sur un banc public qui mange son plat sur ses genoux. Ce sont des endroits informels – peut-être même un peu inconfortables – quand il s’agit de manger, pourtant, manger la collation de son choix s’avère toujours agréable et parfaitement satisfaisant, presque comme un art de vivre.
Fashionista ou fin gourmet ? Laissez-vous tenter par cette succulente série !
Retrouvez le travail de la photographe Kelsey McClellan sur son site et sur Instagram.
Retrouvez le travail de la styliste Michelle Maguire sur son site et sur Instagram.
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Les portraits d'enfants du photographe Pierre Nicou
Pierre Nicou photographe chez Graine de Photographe est spécialisé dans la photographie d’enfants. Depuis plus de 20 ans, il dresse le portrait des petits et grands pour le groupe de presse Marie Claire. Ce photographe de talent s’illustre également dans la photographie de mode, de reportage, de natures mortes et packshot (photo d’objets). Pierre multiplie ainsi les expériences dans la publicité avec de grandes marques comme Catimini, Petit Bateau ,Babou ,Anchan,Galerie Lafayette ,Phildar ,Repetto ,Ikea, Lapeyre, Gamm Vert. Il a réalisé en tant que photographe une centaine de livres mode, patrimoine, loisir créatif, déco, art de la table, enfants et cuisine, avec de nombreuses traductions à l’étranger (USA, Angleterre, Belgique, Pologne, Russie, Espagne, Grèce, Australie,…).
Pour son dernier projet, Pierre Nicou a réalisé une série de photos de mode enfant pour l’agence Cute Models. Le photographe était entouré de Philippinne Cordon pour la coiffure et le maquillage, de la styliste Kathrin Lezinsky, et de Jean-Michel Boillot pour les retouches digitales.
Découvrez ces adorables portraits au style très pictural !
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Les nus sobres et linéaires du photographe Stas Kadrulev
Stas Kadrulev est un photographe russe de la ville de Oulan-Oude.
Spécialisé dans la photographie de nu artistique, Stas Kadrulev photographie les corps avec subtilité et délicatesse. Avec comme toile de fond principale la nature, le photographe russe aime jouer avec les lignes et les perspectives. Les visages de ses modèles sont toujours dissimulés. Ce sont ici les corps qui sont mis en avant, non pas de manière érotique, mais plutôt de façon sobre et touchante. Mettant aussi bien en scène des hommes que des femmes, Stas a su ; à travers ses angles de vues ; faire de ses modèles de véritables sculptures vivantes. Les corps humains se fondent dans le décor pour une résultat saisissant et intime. Ses photos de nus sont à la fois sobres et linéaire.
Découvrez les magnifiques nus de Stas Kadrulev
Retrouvez Stas Kadrulev sur DeviantArt
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"Little Kids with their Big Dogs", des chiens et leurs petits maîtres en photo par Andy Seliverstoff
Andy Seliverstoff est un photographe russe vivant à Saint-Pétersbourg.
Il a commencé la photographie il y a déjà quelques années mais ce n’est que récemment qu’il a décidé d’en faire plus qu’un loisir. Et son dada à lui, c’est de photographier les chiens !
En effet, Andy est un amoureux inconditionnel des chiens, au point d’appeler son site internet “Great Dane Chronicles”, en référence au dogue allemand, son chien préféré.
Il fait ainsi en sorte de faire ressortir la personnalité des chiens qu’il photographie à travers ses images. Il souhaite confirmer la célèbre maxime affirmant que le chien est le meilleur ami de l’homme.
Dans sa série photo, Andy Seliverstoff met en valeur toutes les races de chiens, plus précisément les races de grands chiens, comme le dogue allemand, le berger de brie, le St Bernard ou le Newfoundland.
Ses photos sont d’ailleurs extraites d’un livre qui sortira en Février 2017 et qui compilera toutes ces adorables photos de chiens et de leurs petits maîtres.
Il montrera ainsi la complicité sans faille qui lie ces grosses boules de poils à ces enfants débordant d’amour pour leurs compagnons à 4 pattes.
Des photos remplies de tendresse et d’une belle dose d’humour.
Laissez vous séduire par ces adorables petites bouilles et leurs amis à 4 pattes !
Retrouvez tout le travail d’Andy Seliverstoff sur son site internet, sur son compte Facebook, sur son compte Instagram et sur son compte 500px.
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INTERVIEW - Les photos d'architecture urbaine à Hong Kong par Peter Stewart
Peter Stewart est un photographe australien basé dans les alentours d’Hong Kong. Spécialisé en photo d’architecture, il profite de l’architecture particulière de la ville pour créer sa série Stacked (littéralement « empilés »).
À la recherche de motifs architecturaux hypnotiques, le photographe se laisse porter à travers la ville, un peu au hasard. Nous avons pu lui poser quelques questions lors d’une interview exclusive que vous retrouverez ci-dessous.
Tu es spécialisé en photographie d’architecture. Qu’est-ce qui t’as attiré dans Hong Kong, en terme d’architecture ? Que cherchais-tu à montrer dans ta série « Stacked » ?
L’intérêt de « Stacked » est de présenter sous un nouveau jour les lieux d’habitation à Hong Kong. Il n’y a aucune photo des grattes ciels iconiques de la ville dans cette série car ce n’était pas ce sur quoi je souhaitais me concentrer. Cette série met en lumière les lignes et formes qui construisent les structures.
Lors que l’on regarde ta série, on se sent parfois étouffé par ces immenses immeubles qui nous entourent. Est-ce l’impression que l’on ressent en vivant à Hong Kong ?
Je pense qu’en général avec Hong Kong il y a un sentiment d’étouffement. La ville en elle même est plutôt petite et comporte tellement de structures hautes placées côte à côte, cela s’ajoute à une surpopulation de 8 millions, on se sent vite dépassé et écrasé. Ceci dit, il ne te faut pas plus de 20 minutes de métro ou bus pour t’échapper de tout cela. Hong Kong a beaucoup de parcours de randonnées, de trails et de plages plutôt pas mal, étonnamment, qui constituent une bonne échappatoire à la ville surpeuplée.
Vivre à Hong Kong pour certain implique de vivre dans des immeubles. C’est la norme. À mon avis, c’est la même chose que de vivre dans un appartement dans n’importe quelle autre grande ville.
La plupart de tes photos semblent avoir été prises du même angle : au pied d’un immeuble, en direction du ciel, pourquoi avoir fait ce choix de même prise de vue ?
Il y a une tendance émergente ces derniers temps qui est le « roof-topping ». Cela consiste en trouver un immeuble assez haut et de photographier la ville depuis le toit, souvent avec des angles plutôt vertigineux. Même si j’ai occasionnellement participé à ce concept, je préfère garder mes deux pieds fermement sur terre (et fermement placé du bon coté de la loi !).
Il est plus simple de montrer depuis le sol l’échelle particulière d’une structure et de se placer dans une position optimale pour trouver le bon angle. J’aime jouer avec les lignes et symétrie dans mes images et shooter avec un grand angle depuis le sol me donne l’effet désiré.
Du coup, c’est peut-être à cause de ces angles de prises de vue chacun des immeubles de « Stacked » sont vraiment originaux, est-ce que tous les immeubles de Hong Kong le sont autant ou est-ce que tu as effectué un travail de recherche sur les immeubles que tu souhaitais photographier ?
C’est drôle parce qu’après un certain temps, tous les immeubles de la ville semblent se ressembler et ne former qu’une seule sorte d’immeuble. Mais oui, il y a vraiment un style de design qui est repris parmi la plupart des immeubles et logements sociaux. En général, je cherche des structures qui peuvent suivre un certain motif géométrique, comme 3 immeubles placés ensemble de façon triangulaire. Google Earth est très utile pour trouver des structures avec des cours ouvertes, ce qui peut ne pas être vu du premier coup d’œil en marchant dans la rue. Ces types d’endroits sont souvent très intéressants en terme de composition en regardant vers le haut.
Pour terminer, quel était ton matériel pour cette série ?
Les images de « Stacked » ont été prises avec un Nikon D810 et un Canon 5D Mark II, la majorité des photos ont été prises avec un 14mm grand angle.
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