Yik Keat photographie les magnifiques paysages urbains de Singapour
Le jeune photographe singapourien Yik Keat a débuté la photographie de manière incongrue. Il y a 3 ans, alors qu’il effectuait un emploi saisonnier en temps que livreur, il a décidé de se lancer dans l’aventure. A cette période, Instagram est en pleine explosion. Avec son emploi, Yik vadrouille dans toute la ville. Équipé de son Iphone, il profite de ses livraisons pour saisir les occasions qui se présentent à lui pour photographier cette majestueuse cité-État qu’est Singapour.
Fortement influencé par cette ville dans laquelle il a grandi, ses images reflètent la sophistication, la modernité, la propreté et l’harmonie. Le jeune singapourien utilise un Canon 6D ; le plus souvent équipé d’un objectif 16-35mm f/4L ; pour photographier ce colossal paysage, composé d’architectures exceptionnelles, qui l’entoure. Yik Keat a réussi à travers ses photographies à saisir la beauté et la richesse culturelle de cette somptueuse ville-jardin, qui est pour lui sa principale source d’inspiration ! Pour lui, pouvoir vivre et capturer de telles images à Singapour est vraiment quelque chose d’exceptionnel !
Découvrez la beauté du pouvoir de ce « petit point rouge sur la carte » qu’est Singapour à travers l’objectif de Yik Keat !
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Les enfants ont la solution pour sauver notre planète avec le photographe Eric Raeber
Le photographe suisse Eric Raeber, dont nous vous avions déjà présenté la magnifique série de portraits sous l’eau The Underside, nous revient avec un projet bien ancré sur Terre. Un projet dans lequel il cherche à élever les consciences face à notre environnement et au changement climatique, et à inspirer les gens sur l’importance de notre planète et de son avenir.
Depuis un an, Eric Raeber pose à des enfants de 6 à 12 ans la question suivante : Si la terre était de la taille d’un ballon de plage, comment ferais-tu pour sauver notre planète ?
Découvrez au dessus de chaque photo leurs idées.
Cailin, 9 ans : « J’ajouterais des arbres »
Nous percevons souvent la photographie comme un outil pour documenter le passé, mais il a aussi le potentiel pour influencer l’avenir. Notre planète a besoin d’un avenir. Les dégâts environnementaux et autres, que nous lui avons infligé peuvent sembler irréversibles et la tâche devant nous, insurmontable. J’ai donc voulu demander à ceux qui vont hériter de ces problèmes leurs idées. J’ai voulu entendre quelles sont les réponses des futures générations à cette question : Si la terre était de la taille d’un ballon de plage, comment ferais-tu pour sauver notre planète ?
Brody, 10 ans « J’aspirerais tous les déchets du vortex du Pacifique nord »
Je m’étais déjà fait des idées sur les types de réponses que je recevrais, mais je me suis bientôt rendu compte que j’étais un adulte qui, comme la plupart d’entre nous au fil des ans, est devenu très raisonnable. Les idées que les enfants inventent ne cesseront jamais de m’étonner. Elles s’étendent des solutions innocentes ou naïves aux solutions incroyablement créatives, ou à une déclaration très profonde. Chaque idée me mène à un concept photographique où des enfants tiennent la Terre sur leurs genoux. Je réalise leur portrait dans leur espace de jeu ou dans un emplacement approprié pour le concept.
Felix, 10 ans « J’ajouterais de la glace pour baisser la température des océans »
Si vous souhaitez participer à ce beau projet qui est en cours, n’hésitez pas à contacter Eric Raeber. Vous vivez trop loin du photographe ? Pas de soucis ! Munissez-vous d’un ballon de plage, et montrez vous aussi comment vous sauveriez notre planète à travers une photo, en la postant sur les réseaux sociaux avec #IfEarthWasTheSizeOfABeachBall !
Chloe, 10 ans
« Quand on observe la terre depuis l’espace, on ne distingue pas les pays. J’effacerais toutes les frontières de façons à ce que tout le monde soit citoyens de la terre. »
Natasha, 10 ans « Je soufflerais de l’air de façon à faire disparaître la pollution »
Charlotte, 10 ans « Je prendrais l’eau des inondation au Texas et je la verserais dans les réservoirs californiens ».
Sophie, 6 ans « Je séparerais les gens qui se battent et je les ferais s’excuser ».
Ava, 8 ans « J’apporterais un camion de nourriture et je donnerais à manger à tout le monde, y compris les animaux »
Evyn, 8 ans « J’interdirais les voitures qui polluent et n’autoriserais que celles qui fonctionnent avec des batteries »
Nikita, 10 ans « Je construirais des maisons plus proches les unes des autres, comme ça les gens pourraient marcher et non conduire »
Iris, 11 ans « Je planterais des arbres dans les usines désaffectées »
Sofia, 7 ans « Je placerais la terre dans le frigo de manière à la refroidir »
Zofia, 8 ans « Je construirais des icebergs artificiels qui ne fondraient jamais et j’y mettrais les ours polaires »
Allison, 6 ans « Je mettrais des piquants tout autour de la terre pour la protéger de méchants trucs, comme par exemple les astéroïdes »
Stan, 9 ans « J’ajouterais des cellules solaires aux voitures »
Eric, le photographe avec son fils Felix : « Si la terre était de la taille d’un ballon de plage… je photographierais des enfant pour qu’ils nous montrent comment sauver la planète »
Les incroyables photos d’architecture urbaine de Kevin Krautgartner
Le photographe Kevin Krautgartner a grandi à Schwelm, en Allemagne, une petite ville près de Cologne. A l'âge de 25 ans, il obtient un diplôme en photographie et en graphisme à l'Université de Sciences Appliquées de Dortmund. Depuis, il vit et travaille à Wuppertal, en tant que photographe et éditeur graphique.
Passionné de photographie et de voyages, Kevin a eu la chance de pouvoir combiner les deux dans son travail. Ses missions pour des architectes et des agences d'états, le conduisent ainsi dans différents pays à travers le monde. Certaines photos de sa série lui ont valu des prix nationaux et internationaux, on pourra également retrouver son travail dans de futurs livres et expositions.
Le photographe allemand est toujours dans le désir d'apporter un nouveau regard sur l’architecture urbaine contemporaine. Décadrées, colorées et minimalistes, les photographies de Kevin Krautgartner sont de vrais délices pour les yeux !
Découvrez les incroyables photos d'architecture urbaine de la série Reduced to the max de Kevin Krautgartner !
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Microsculpture, les époustouflantes photos d'insectes de Levon Biss
Levon Biss est un photographe spécialisé dans la photographie sportive. Ses portraits d’athlètes, tel que Usain Bolt, ont souvent fait la Une des magazines.
Passionné de nature et de photographie, le britannique Levon Biss a décidé de se lancer dans un projet hors du commun : Microsculpture. Une étude photographique unique, fait d’époustouflants agrandissements d’insectes. Pour mener à bien ses travaux, Levon s’est donc naturellement tourné vers la macrophotographie, qu’il a élevée à un tout nouveau niveau ! Il a réussi à saisir les magnifiques détails de la beauté des insectes, imprimés sur des formats immenses, pour provoquer une expérience visuelle inoubliable au public. Grâce au Dr. James Hogan, un anthropologue du Musée d’histoire naturelle de l’université d’Oxford, il a pu avoir accès à une énorme collection d’insectes incroyables.
Chaque image de Microsculpture a été créée à partir de 8 000 photographies individuelles. L’insecte épinglé est placé devant un microscope adapté qui me permet d’avoir le contrôle complet du positionnement du spécimen devant la lentille. Je photographie avec un appareil 36 mégapixel sur lequel un objectif de microscope 10x est attaché via un objectif 200mm.
En fonction de la taille du spécimen, je photographie l’insecte sur approximativement 30 sections différentes. Chaque partie est éclairée de façon différente avec des lumières stroboscopiques pour ainsi révéler la micro beauté sculpturale de chacune des parties du corps. Par exemple, je vais éclairer et photographier juste une antenne, puis après en avoir terminé avec cette zone, je me déplacerai sur l’œil et la configuration d’éclairage changera entièrement pour convenir à la texture et aux contours de cette partie du corps. Je continue ce processus jusqu’à ce que j’ai couvert l’intégralité du corps de l’insecte.
Dans cette vidéo découvrez l’atelier de travail de Levon Biss pour photographier les insectes.
Vous découvrirez son travail, de la création à l’impression. (Des sous-titres générés automatiquement en français sont disponibles)
Pour en découvrir plus rendez-vous sur le site Microsculpture, et retrouvez le travail de Levon Biss sur son site
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"Eclipse" la série photo d'Eric Houdoyer entre ombre et lumière
Réactivité, c'est le maître-mot de la Street photography. Mais quand en plus, la lumière et le cadrage sont maîtrisés cela peut donner lieu à des résultats saisissants !
Présentation d'Éric Houdoyer, féru d'éclairage naturel
Sa série Eclipse a déjà fait l'objet d'une exposition à Kyoto et Maizuru, dans le cadre de l'International Shoebox Art Exhibition Tour 2016. Une série de Street photography où la lumière est le sujet principal !
"Je me sers de l’éclairage naturel comme d’un projecteur spontanément dirigé. Il n’y a pas de visage. L’intention est de capter des scènes anodines qui donnent des images spectaculaires et contrastées. Il n'y a pas de réels travaux de retouche, mais un jeu sur le contraste a posteriori." déclare Eric Houdoyer au sujet de son travail.
Découvrez la série photo de Eclipse de Eric Houdoyer !
Retrouvez l'ensemble du travail de Eric Houdoyer sur Artphotolimited
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No Signal, un retour à la nature avec le photographe Brice Portolano
Brice Portolano est né à Paris en 1991. Après avoir étudié les beaux-arts à la Sorbone et la photographie aux Gobelins, il décide de partir explorer les grands espaces et d’aller à la rencontre de ceux qui y vivent et ce durant 3 années. Avec son style et sa démarche artistique, il a réussi à se démarquer dans les nouveaux talents de la photographie française !
Alors que plus de la moitié de la planète vit en milieu urbain, l’Homme n’a jamais été aussi déconnecté de la nature et des grands espaces. À travers le projet “No Signal” entamé en 2013, Brice Portolano choisi de documenter le retour de l’Homme à la nature dans le monde occidental.
Il photographie le quotidien d’hommes et de femmes qui ont décidé de revenir à des valeurs et un mode de vie plus simples sans pour autant s’affranchir de la modernité ni se marginaliser. Il s’agit pour ces individus de remettre en question des valeurs qui ne leur correspondent plus tout en intégrant au cœur de leur quotidien un contact fort et direct avec la nature.
Entamé en mars 2013, ce projet vise à documenter le quotidien de différents personnages afin d’établir un témoignage riche et pluriel de la relation entre l’Homme et la nature au 21e siècle. Avec des taux d’urbanisation parmi les plus élevés au monde, l’Europe (73%) et l’Amérique du Nord (82%) sont le théâtre de ce projet construit autour de 4 portraits.
Sa démarche en tant que photographe documentaire est brillante et le résultat est un régal pour les yeux et l’esprit. Ce jeune baroudeur a rassemblé 4 de ses voyages pour son projet No Signal : 4 lieux, 4 portraits, 4 histoires.
Découvrez Tinja, une éleveuse de chiens de traîneaux dans le nord de la Laponie ! Mais aussi ces Américains dans l’Utah et l’Alaska qui décident de vivre en auto-suffisance. Et pour finir Alex qui a quitté la vie parisienne pour travailler dans la nature dans les Alpes-Martimes.
Retrouvez l’ensemble du travail de Brice Portolano sur son site ! Et n’hésitez pas à le suivre sur Facebook et Instagram !
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Fake Holidays, les photos de vacances de Reiner Riedler
L’Autrichien Reiner Riedler est un photographe documentaire, qui se destinait à l’origine à l’ethnologie.
L’objectif principal de son travail documentaire est de remettre en question nos systèmes de valeurs. Sa vision se concentre toujours sur l’être humain et son environnement. En tant que voyageur, il est toujours à la recherche de la beauté fragile de l’existence humaine avec ses désirs et ses abîmes. Ses travaux conceptuels récents remettent en question la nature de la photographie et la façon dont nous regardons le monde qui nous entoure. Ses photos ont été publiées dans des magazines comme National Geographic, Stern, New York Times, Fortune, Le Monde, Der Spiegel etc.
Avec sa série Fake Holidays, Reiner aborde la consommation à travers l’industrie du tourisme et des loisirs dans les pays industriels. Au total, il s’est rendu dans 11 pays et a visité 50 parcs à thème, tous plus invraisemblables les uns que les autres ! Des paradis artificiels où tout est faux du sol au plafond ! Ses photos ont été rassemblées dans un livre appelé Fake Holidays.
Découvrez la série loufoque : Fake Holidays !
Retrouvez l’ensemble du travail de Reiner Riedler sur son site, mais aussi photography.at et anzenberger.com
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Minimalisme et architecture avec le photographe Rusty Wiles
Vous aimez la photo, l’architecture urbaine et le minimalisme ? Alors vous êtes sur la bonne page ! Grainedephotographe.com vous présente Rusty Wiles, star d’Instagram. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, Rusty n’est pas photographe de métier, mais pompier à Fort Pierce, Floride.
Ce qui était à l’origine un loisir est devenu un vrai succès. Le temps de ses pauses, le photographe se laisse guider par son instinct. Il prend en photo ce qui attire son regard, ajuste les lumières ou utilise un filtre et voilà ! Les gens adorent !
Un véritable regard en matière d’architecture urbaine. La lumière, mais aussi la composition de ses images sont un régal pour les yeux, tant au niveau linéaire qu’au niveau des couleurs.
Découvrez les photos géométriques et colorées de Rusty Wiles !
N’hésitez pas à suivre Rusty Wiles sur Instagram !
Passionné par l’architecture urbaine ? Rejoignez-nous pour un Workshop de 2 jours !
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Tamara Lichtenstein, la féminité sublimée par la photographie
Tamara Lichtenstein, une autodidacte talentueuse
Née en Bolivie et vivant au Texas depuis son plus jeune âge, la jeune Tamara Lichtenstein photographie des femmes.
Autodidacte, elle commence la photographie à 13 ans, et se lance dedans de façon professionnelle à 18 ans. Depuis ses débuts, elle a travaillé avec des marques et magazines tels que : Urban Outfitters, Converse, Neon Magazine, Vice... En 2013, Tamara fait parler d'elle avec la sortie de son livre Between us and the sea. Un voyage entre Houston au Texas et Big Sur en Californie, pas un road-trip à proprement parler, mais plutôt le recueil photographique d'une aventure. Son éditeur précise, "le voyage d'une jeune fille vers la jeune femme qu'elle devient"
La mode, la féminité et la jeunesse, voilà ce qui inspire Tamara Lichtenstein. En regardant son travail, nous sommes inévitablement face à des portraits doux et sensuels où se confrontent mélancolie et allégresse. La photographe joue avec les couleurs, les ombres et les lumières. Dans des atmosphères sans artifices, elle laisse la femme et son corps être les seuls éléments sublimés de sa composition. Une ode à la féminité !
Bienvenue dans l'antichambre de la féminité avec Tamara Lichtenstein
Retrouvez l'ensemble du travail de Tamara Lichtenstein sur son site ! Et n'hésitez pas à la suivre sur Facebook, Twitter et Instagram !
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Les côtes d'Australie photographiées de haut par Gabriel Scanu
Gabriel Scanu est un jeune photographe de 20 ans, venant de Sydney en Australie. Initié très tôt à la photographie grâce à son père cinéaste, à l’âge de 12 ans plus précisément, il se passionne très vite pour la photo.
C’est d’ailleurs à la suite de l’achat d’un drone par son père que Gabriel Scanu découvre ce nouvel objet. C’est également de là que naîtra l’idée de prendre en photos les côtes de son pays natal, l’Australie, grâce aux drones.
La photographie aérienne n’avait pas encore fait parlé d’elle, il a donc profité de cette opportunité pour se faire un nom. Et cela a plutôt bien marché pour lui ! Il est désormais suivi par plus de 135 000 personnes sur son compte Instagram, où il publie la plupart de ses clichés.
Afin de faire les meilleures photos possibles, le photographe préfère des endroits bondés où il se passe beaucoup de choses et aime varier les paysages, des côtes australiennes aux côtes anglaises et américaines, mais aussi des montagnes enneigées d’Australie (oui oui, c’est possible) et d’Italie.
Pour découvrir les magnifiques plages d’Australie, c’est par ici !
Retrouvez tout le travail de Gabriel Scanu sur son site internet et sur son compte Instagram !
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Les nus en extérieur du photographe Fabien Queloz
Fabien Queloz est un photographe indépendant basé à Neuchâtel, en Suisse. Son talent consiste à mettre tout en oeuvre pour célébrer « l’une des beautés de la Nature la plus accomplie : la Femme » à travers des nus a l’esthétique soignée.
Passionné par le corps féminin, ce photographe spécialiste joue avec tous les éléments dont il dispose pour souligner les courbes, encourager les lignes et révéler les secrets. La lumière, la mise en scène et l’environnement sont soigneusement travaillés afin de rendre à ces corps élancés et gracieux leur beauté originelle, au travers de différentes confrontations et abandons de soi.
Dans ces nus en extérieur, Fabien Queloz parvient à mettre en scène une harmonie. Une harmonie dans laquelle la beauté pure et fragile de la femme rencontre celle violente et puissante de la nature. Ici, les arbres arrachés et les roches fracturés s’inclinent devant des corps qui s’étendent et brillent. Véritables lignes de fuites, ceux-ci constituent l’éclair, le soubresaut esthétique, qui exalte le temps et l’espace.
Découvrez les magnifiques nus en extérieur de Fabien Queloz dans la galerie ci-dessous !
Fabien Queloz : Site
Flatland : La série renversante d'Aydin Büyüktas
Aydin Büyüktas est un photographe turc passionné d’effets spéciaux, de video et d’animation 3D. Après des études de tourisme qui ne lui convenaient pas, il se tourne vers le cinéma mais aussi la photographie.
Sa série Flatland, est nommée ainsi d’après une nouvelle de 1884 décrivant un monde en deux dimensions, occupé par des figures géométriques.
Plusieurs films américains de science-fiction ont d’ores et déjà traduit visuellement sur nos écrans ces nouvelles dimensions supposées.
Ces photos rappellent une scène du film Inception dans laquelle Paris se déforme ou un voyage galactique futuriste comme dans Interstellar, notre imaginaire se plaît à retourner les rues et les paysages sur eux-mêmes comme si la gravité ne tenait plus la route.
Pour arriver à ce résultat, Aydin a photographié le même paysage depuis le sol puis depuis les airs à l’aide d’un drone. Il a ensuite assemblé les deux photos pour créer une image où la perspective est chamboulée.
Découvrez son incroyable travail ici !
Retrouvez d’autres photos d’Aydin Büyüktus sur son site personnel ou son compte Facebook !
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