© Ariko Inaoka

Des jumelles islandaises sont photographiées chaque année par Ariko Inaoka

Ariko Inaoka est une photographe japonaise née à Tokyo et diplômée d’une école de design à New York. Lors d’un voyage en Islande en 2006, elle fit la rencontre d’Erna et Hrefna, deux jumelles âgées de six ans, lors d’un shooting photo qu’elle organisait. Elle les retrouva trois ans plus tard et leur proposa de faire partie de son projet.
Depuis, Ariko Inaoka retourne chaque année en Islande pour prendre les jumelles en photo. Elle le fera jusqu’à leur seize ans et pourra ainsi voir comment leur relation a évolué à travers le temps.

© Ariko Inaoka
© Ariko Inaoka

L’artiste décrit Erna et Hrefna comme des petites filles intelligentes, matures et sûres d’elles. Elles pratiquent le ballet deux à trois heures par jour, cinq jours par semaine. Ce sont également de bonnes élèves qui ont presque toujours les mêmes notes.
« Leur connexion est presque télépathique. Quand elles parlent, l’une commence une phrase, la deuxième la continue et la première la termine de façon tout à fait naturelle. Elles m’ont aussi dit qu’elles faisaient les mêmes rêves. »

Retrouvez les photos d’Erna et Hrefna, ainsi que les autres séries de photo de Ariko Inaoka, sur son site personnel.

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Les arbres anciens et majestueux de Beth Moon

Beth Moon n'est pas une photographe comme les autres. Depuis près de 14 ans, elle parcourt le monde à la recherche d'arbres, mais pas n'importe lesquels.

"Portraits of Time" est une série de portraits des arbres les plus anciens et les plus majestueux que l'on puisse admirer sur Terre.

©Beth Moon

Comme en témoigne l'artiste, aucune difficulté ne l'a empêchée d'immortaliser sur pellicule ces doyens végétaux :

"Par exemple, l'île de Socotra au Yemen, terre des immenses palmiers sang-dragon, est inaccessible des mois durant lors de la saison des moussons... Dans le cas des baobabs de Madagascar, je trouvais qu'ils rendaient mieux avec un feuillage épais, ce qui signifiait se rendre sur place durant la saison des pluies. D'un autre côté, certains grands chênes étaient plus à leur avantage durant les mois d'hiver... Dormir dans la forêt d'encens de Socotra, ou dans les bassins de sel du désert de Kalahari... était une expérience comme nulle autre ».

Des clichés magnifiques où ces arbres, pour certains millénaires, dégagent une véritable majesté. Beth Moon a d'ailleurs publié cette année un recueil de ces photos intitulé Ancient Trees : Portraits of Time. Une façon pour elle d'immortaliser ces géants d'écorce et de feuilles.

Et si la photo en noir et blanc vous intéresse, pourquoi ne pas suivre un cours avec un photographe professionnel ? Rendez-vous ICI !

©Beth Moon
©Beth Moon
©Beth Moon
©Beth Moon
©Beth Moon
©Beth Moon
©Beth Moon
©Beth Moon
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©Beth Moon
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©Beth Moon
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©Beth Moon

Beth Moon - site officiel - Facebook

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Strangers in the Light par Catherine Balet

"Strangers in the Light", quand la technologie éclaire les scènes de Catherine Balet

Quelle place occupe la technologie dans notre vie quotidienne ? C’est la question que s’est posée Catherine Balet. Cette photographe française a commencé à s’interroger une nuit d’été, en 2006, lorsqu’elle croisa un jeune couple qui se prenait en photo sur la plage avec un téléphone portable. Cette rencontre fut pour l’artiste une révélation : « le point où la technologie rencontre le romantisme, où le futur embrasse le passé, mêlant la lueur bleue numérique à la lumière dorée de la nature ».

Photo : Catherine Balet
Photo : Catherine Balet

Quelques années plus tard, la série « Strangers in the Light«  voit le jour. Catherine Balet s’inspire alors des œuvres de peintres célèbres tels que Manetde la Tour ou encore Vermeer pour en créer une version moderne. L’artiste remplace ici la lumière des bougies et utilise celle de nos écrans du quotidien pour éclairer ses scènes.  Les téléphones, ordinateurs, caméras ou encore la télévision. Une lumière froide et bleutée a laquelle l’artiste fait référence comme « le clair-obscur du XXIe siècle».

 

Selon Catherine Balet, ses clichés illustrent parfaitement notre époque, une génération connectée où les personnes ne prennent plus le temps de se parler directement, absorbées par l’écran de leur téléphone. L’exemple le plus frappant est celui de la scène de la Nativité : toute la famille est rassemblée autour du nouveau-né, pourtant personne ne le regarde directement. À peine né, l’enfant est photographié de toute part par ses proches qui ne tardent pas à partager les clichés sur Internet.

« Il ne s’agissait pas de me référer aux chefs-d’œuvre en tant que sujets d’une parodie, mais d’établir une correspondance entre deux mondes où la conception de l’espace et du temps est différente […] Mes modèles, accrochés à la prothèse numérique, sont en contemplation de leur vie à travers un écran, comme hypnotisés par un ailleurs plus excitant. » – Catherine Balet.
Petit clin d’oeil en ce qui concerne le titre de la série : « Strangers in the Light » s’inspire de la chanson « Strangers in the Night » rendue célèbre par le crooner Frank Sinatra.

Catherine Balet : Site officiel

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Photo nu par Henrik Purienne

Les clichés sensuels et ensoleillés d'Henrik Purienne

Henrik Purienne est une véritable référence dans le domaine artistique. Ce photographe sud-africain est connu pour avoir fondé le magazine de mode Mirage Magazine, mais surtout pour ses photos érotiques à l’esthétique si particulière.

Fortement inspiré par la culture hédoniste des années 70-80, Henrik réalise des portraits de femmes toutes plus sublimes et sensuelles les unes que les autres, mais jamais vulgaires. Dans sa dernière série sobrement intitulée « purienne. », les modèles se prélassent sur la plage dans le plus simple appareil, ou encore posent de façon faussement innocente devant l’objectif.

C’est un été sans fin que nous offre l’artiste. Un été où les couchers de soleils ne servent qu’à mettre en valeur le corps des femmes qu’il aime tant.

Photo nu par Henrik Purienne
© Henrik Purienne

Henrik Purienne: Site Internet

 

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Photo : Vincent Fournier

L'exploration spatiale vue par le photographe Vincent Fournier

Vincent Fournier est un photographe originaire du Burkina Fasso vivant actuellement à Paris. Diplômé de l’École Nationale de Photographie, il est passionné par le côté fantastique et mystérieux de la science. Des mondes inconnus et fascinants à la frontière de la réalité scientifique et de l’imaginaire de l’enfance.

Photo : Vincent Fournier

La dernière série de l’artiste, « Space Project », nous fait découvrir ses univers utopiques. Dans ce projet se succèdent des photographies de décors lunaires, d’astronautes et d’installations spatiales dignes d’un film de science-fiction.

Photo : Vincent FournierC’est d’ailleurs dans une production hollywoodienne que l’on retrouve ces clichés. En effet, certaines des œuvres de Vincent Fournier sont exposées dans les bureaux de Harry Osborn, l’un des personnages principaux du film « The Amazing Spiderman 2 ».La limite entre la réalité et la fiction est ici bien mince. Comme le désirait l’artiste.

Vincent Fournier
Vincent Fournier

En savoir plus : Retrouvez l’univers de Vincent Fournier sur son site officiel.

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  • La poésie mélancolique du photographe Hussam Eissa
  • A la poursuite des astres avec le photographe Xavier Piron
  • L’astrophotographie par Samy Al Olabi


Des flocons de neige en macro par le photographe Alexey Kljatov

Des flocons de neige en macro par le photographe Alexey Kljatov

Alexey Kljatov est un photographe russe qui photographie sur son balcon des flocons de neige en macrophotographie dans sa série intitulée « Snowflakes ».

Pour réaliser ces photographies, Alexey Kljatov a lui même inventé un système de macro à l’aide d’une plaque de verre éclairée par une LED. Il a ensuite monté sur son appareil photo compact (un Canon Power Shot A650) un objectif 44M-5 Helios et une caméra Zenit russe. Vous retrouverez les images de ce montage ingénieux en fin d’article.

Des flocons de neige en macro par le photographe Alexey Kljatov
© Alexey Kljatov

Grâce à l’artiste nous pouvons admirer toute la beauté graphique des flocons de neige qu’on ne peut pas voir à l’oeil nu.
La symétrie que l’on retrouve dans chaque flocon est crée grâce  à la structure cristalline de la glace, mais on s’aperçoit qu’aucun des flocons n’est semblables.

Alexey Kljatov : 500px

 

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Magnifiques portraits de sans-abris

Magnifiques portraits de sans-abris par Jan Banning

Le photographe néerlandais Jan Banning est allé à la rencontre des sans-abris du sud des Etats-Unis.

Après des échanges et des discussions, il décide de leur consacrer une série de photographie.

Magnifiques portraits de sans-abris
©Jan Banning, Julie

Sa série ‘Down and Out in the South représente ainsi des personnes sans domiciles fixes en Caroline du Sud.
Pour le photographe Jan Banning, l’objectif de ces photographies est de briser les préjugés et les stéréotypes sur les sans-abris et leur redonner une identité.

Pour cela, il sort les SDF de leur environnement habituel grâce à un fond simple et réalise de superbes portraits en studio qui humanise et donne à la société un nouveau regard sur les sans-abris.

Toutes les photographies de la série sont réunies dans un magnifique livre photo.

 

A présent, découvrez tous ses clichés dans cette galerie  ! 

Jan Banning : Site

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Back to the future

Back to the future : Irina Werning reproduit des vieilles photos

Irina Werning est une photographe argentine basée à Buenos Aires qui prend des vieilles photographies et les reproduit à l’identique en oubliant aucun détail.

Back to the future
© Irina Werning

Sa série intitulée Back to the future recompose des anciennes photographies avec les mêmes personnes au même endroit avec les mêmes vêtements et accessoires. Mais Irina Werning est perfectionniste et pousse la ressemblance encore plus loin en recréant la même ambiance que celle de la photo d’origine.

Découvrez les photos de la série Back to the future dans la galerie ci-dessous

Découvrez une vidéo du documentaire « Back to the future » réalisé par Jamie Jessett  : 

Irina Werning : SiteFacebook

 

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Alain Laboile, En attendant le facteur

Le photographe Alain Laboile photographie sa famille à la campagne

Alain Laboile est un photographe bordelais qui a commencé la photographie à 36 ans lorsqu'il reçoit son premier appareil photo compact en 2004.

Aujourd'hui, Alain Laboile est connu mondialement pour ses photos de famille en noir et blanc.

Papa de 6 enfants, ce photographe s'inspire de sa famille pour réaliser de superbes photos qui nous dévoilent ses quatre filles et ses deux garçons - âgés de 4 à 18 ans -, au contact de la nature.

Nus dans la boue, à vélo ou jouant dans le jardin tous ensemble et même avec les chats, Alain Laboile nous offre des clichés remplis de joie de vivre et de liberté qui rythme le quotidien de cette grande famille.

Vous pouvez vous procurer son livre "En attendant le facteur" qui rassemble 80 photos réalisées au cours des six dernières années.

La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile

 

La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile
La famille - © Alain Laboile

Alain Laboile :  Site - Facebook

 

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Le photographe Kirill Oreshkin réalise des photos qui donnent le vertige

Rooftopping : le photographe Kirill Oreshkin réalise des photos qui donnent le vertige

Sur notre Blog, vous aviez découvert les photographies vertigineuses de Vadim Mahorov, un photographe russe qui pratique le rooftopping, phénomène qui consiste à escalader les plus hauts immeubles urbains sans protection pour prendre en photo la ville vue d’en haut.

Ici, un autre rooftoper russe, Kirill Oreshkin, réalise des photographies incroyables depuis les plus hauts bâtiments de Moscou.

Le photographe Kirill Oreshkin réalise des photos qui donnent le vertige
Rooftopping – Kirill Oreshkin

Sans harnais, ni moyen de sécurité, Kirill Oreshkin se suspend à bout de bras en haut des plus hautes tours et monuments de Moscou.

Des photographies angoissantes qui donnent le vertige :

Kirill Oreshkin : 500px

 

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L'amitié de Beau et Theo, un enfant et son chien

Une amitié entre un chien (Théo) et un enfant (Beau)

Jessica Shyba est une maman américaine. Pour son enfant prénommé Beau, âgé de seulement  23 mois, elle décide d’adopter un chiot rebaptisé Théo à la SPA de Santa Cruz.

 

L'amitié de Beau et Theo, un enfant et son chien
© Jessica Shyba

Sur son blog Momma’s Gone City elle raconte la relation qui s’est établi entre ce chiot et ce petit enfant. Lorsque Beau est endormi, Jessica Shyba ramène Théo à côté du garçon. Aussitôt, Théo s’allonge contre Beau pour une sieste d’au moins 2h.

© Jessica Shyba
© Jessica Shyba
L'amitié de Beau et Theo, un enfant et son chien
© Jessica Shyba
L'amitié de Beau et Theo, un enfant et son chien
© Jessica Shyba
L'amitié de Beau et Theo, un enfant et son chien
© Jessica Shyba

Cette maman, qui qualifie cette amitié de « belle et naturelle »,  a eu la bonne idée d’immortaliser ces moments de douceur et de publier les photos sur son compte Instagram. Des photographies adorables qui émerveillent ses 20 000 abonnés.

L'amitié de Beau et Theo, un enfant et son chien
© Jessica Shyba
L'amitié de Beau et Theo, un enfant et son chien
© Jessica Shyba
L'amitié de Beau et Theo, un enfant et son chien
© Jessica Shyba
L'amitié de Beau et Theo, un enfant et son chien
© Jessica Shyba
L'amitié de Beau et Theo, un enfant et son chien
© Jessica Shyba

Jessica Shyba : Instagram - Blog

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Absolu Magazine : les photos érotiques de Claude François

Les photos érotiques de Claude François

Claude François, connu comme chanteur, était aussi le fondateur de ‘Absolu‘, un magazine de charme qu’il a crée le 21 mai 1974.

Aboslu Magazine Les photos érotiques de Claude François
Le magazine Absolu

Sous le pseudonyme de François Dumoulin, il dirige une quarantaine de séance photo de charme pour illustrer son magazine. Il était aidé de son ami photographe Gilbert Moreau qui s’occupait de la lumière et du cadrage.

La plupart des clichés sont pris dans sa chambre à Dannemois en Essonne.

Cependant, ces photos nuisent à la réputation du célèbre chanteur. Il décide donc de tout arrêter et de céder son journal en mars 1976 pour ne pas mettre en danger sa carrière de chanteur.

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